Panique à Thiercelieux 5

Organisateur Nombre de messages : 937 Age : 45 Date d'inscription : 30/09/2006

Le matin vient de se lever...

... que nous reserve cette belle journée ?

A thiercelieux c'est toujours l'été...

... il fait chaud, comme sur un bûcher.

Après ce petit interlude poètique à tendance commercial, le soleil décida d'aller voir là-haut si Thiercelieux vallait le coup d'être survolé.

Le soleil traversa le vitrail et parvint aux yeux d'Azraël qui s'était endormis sur un des bancs de l'église dans son costume de cérémonie, il se leva prestement pour aller dans ses appartements, encore un jour qui se lève et une folle journée en perspective ! Attendre toute la journée qu'un fidèle daigne passer la porte, si c'est pas le plus beau boulot du monde ça.... Il quitta sa tunique de cérémonie, prit une douche et enfila une chemise propre en ajustant bien son col blanc pour pas qu'il ne l'étrangle trop, Cela faisait maintenant plus d'un an qu'il résidait à Thiercelieux, l'église l'y avait envoyé aprés la mort suspecte du précédent prêtre, le cardinal ne lui en avait pas dit plus sur cette mort, mais Azraël qui a l'époque avait des fourmies dans les jambes voulait voir du pays et accepta donc la mission. Ce village était tranquille et les villagois peu croyant, seul une poignée assistaient à sa messe régulièrement, à vrai dire c'était un poste en or, il n'y avait pratiquement rien à faire et on était bien payé.

Azraël quitta sa chambre, traversa l'église par l'allée centrale et poussa la grande porte d'entrée, ouvrant ainsi la maison du seigneur aux fidèles pour qu'ils puissent prier à leur guise et avoir accès à la confession.

Le prêtre s'installa sur un des bancs qui étaient devant l'édifice pour profiter de cette belle matinée et pour regarder les villagois s'affairer.

Patsy se leva de bonne humeur ce matin là, quelle belle journée en perspective, pensa-t-il.
Aujoud'hui, il avait décidé de s'adonner à son activitée physique préférée: la peche....en effet en ces périodes d'été, la fraicheur d'une rivière peut etre fort agréable.
Après avoir prit un repas frugal, il rassembla ses affaires: cannes, hameçons et bouteilles de calva.
En ouvrant la porte de chez lui, il pouvait sentir les rayons du soleil lui réchauffer le corps, il pensa qu'avec un peu de chance, il rencontrerait un peu de monde en allant à la rivière, peut etre s'arreterait-il à la taverne.
Il ferma la porte de chez lui et commença à faire route vers la Thièrce.

Nombre de messages : 7 Date d'inscription : 28/01/2007

En cette belle matinée d'été Miles se leva pour sortir et profiter du beau temps, il se dirigea vers la boulangerie afin d'acheter le pain qu'il allait consommer pour prendre sa pitence du matin.
Sortant de son humble demeure il traversa la place du village et entra dans l'échope.
S'adressant à la personne qui tenait le comptoir il dit :

-Bonjour !

Une ombre noire apparu à l’aube en haut de la colline. La silhouette d’un cavalier à cheval se dessina dans la brume matinale. De la vapeur sortait des naseaux du cheval, il avait galopé toute la nuit. Le cavalier mis pied à terre et aperçu le village de Thiercelieux, niché en bas de la colline. Un poignard de Damas pendait à sa ceinture, une épée accrochée à la selle de sa monture. Le cavalier ôta difficilement le capuchon de sa cape. Son épaule gauche était encore douloureuse du fer rouge, où le V de « Voleur » cicatrisait difficilement. Une tresse à moitié défaite tomba du capuchon et Morla montra son visage pour la première fois depuis plusieurs jours. Combien de jours avait-elle chevauché, elle ne savait plus. Tout ce qui lui importait désormais était de prendre du repos et de se nourrir. S’arrêter dans un village était chose dangereuse mais Morla ne pouvait faire un lieu de plus, son cheval non plus. Ils avaient tous deux besoin de repos et de faire quelques bon repas. Et puis, elle n’avait jamais mis les pieds ici, personne ne pourrait la reconnaître.

Le village semblait désert à cette heure très matinale. Morla emmena son cheval jusqu’à l’écurie de l’auberge, sur la grande place du village. Elle lui ôta tout son attirail et descendit ses bagages. Pas grand-chose en vérité. Quelques habits, son épée et le produit des rapines des dernières semaines, enfin ceux qu’elle avait réussi à cacher avant son arrestation, bien empaquetés dans une vieille couverture noire. Elle bouchonna rapidement son cheval, lui remplit l’abreuvoir d’eau et lui délia une botte de foin.

Morla remit son capuchon et pénétra dans l’auberge, se dirigea vers le comptoir et s’adressa au tavernier.

« - J’ai mis mon cheval à l’écurie, z’auriez une chambre libre pour quelques jours ? »

« - Bien sûr mam’zelle, mais ici on paie d’avance ! Et dites moi ce que vous venez faire dans notre village. »

Morla déposé sur le comptoir de quoi payer la chambre pour quatre jours et de quoi acheter le silence du tavernier.

« - Si on vous demande, vous direz que vous ne savez pas. Mes affaires ne regardent que moi et je ne supporte plus les curieux »

Son regard lança une mise en garde au tavernier, allant des yeux du curieux à sa dague pendue à sa ceinture.

Morla pris son barda sous le bras, commença à monter les marches qui conduisaient aux chambres et grommela au tavernier :

« - Montez moi de quoi manger et aller vous occuper de mon cheval ! »

Morla mis ses vêtements dans un coin, la couverture noire et ce qu’elle contenait sous le lit, et ne garda que son épée à portée de main. Elle s’effondra sur le lit dont la propreté laissait à désirer, mais l’état de fatigue dans lequel elle se trouvait eu raison d’elle.

Kimarhi, avait décidé de visiter un peu le royaume. Apres avoir traversé monts et rivières, il arriva dans ce village nommé Thiercelieux.

Il se faisait faim ce matin là et ses provisions étaient épuisées, il chercha une auberge afin de s'y retaurer et de s'y reposer quelques temps histoire de reprendre des forces.

Il trouva une auberge qui lui semblait ouverte, il poussa la porte, alla au comptoir et demanda si il était posible d'avoir de quoi manger.... le repos n'etait pas encore sa prioritée. Son ventre criait famine!!!

-Bonjour aubergiste, pourriez-vous me préparé un quelque chose a manger! J'ai grand im et je n'ai plus de provisions si ce n'est ce bout de pain complètement sec....

-Mais bien sur voyageur, uniquement si vous avez de quoi payé sinon... mais installez-vous a une table, je m'occupe de vous.

-Merci, je prépare mes quelques écus, en attendant j'accepterais que vous me serviez une bonne chopine de houblons ^^... on verra pour une chambre plus tard.

Puis Kimarhi pris place a une table non loin du comptoir, .

Ménelwin assis à la table la plus discrète de l'auberge, trompait le temps entre une chopine et le pointu de son poignard, regarda la jeune femme entrer et empécher son vieux père de finir de nettoyer les chopes. Menelwin laissa errer son regard des bottes à la natte fatiguée de l'étrangère, s'attardant sur sa croupe et ses hanches tandis qu'elle approchait du comptoire.
Tout de noire vétue et à Thiercelieux pour de mystérieuses affaires, mais ce n'était pas vraiment ce qui intéressait Menelwin qui l'imaginait plutôt toute de noir dévétue tandis qu'elle montait l'escalier d'une foulée souple. Menelwin se leva de sa table.
Laisse, le vioque! Je vais m'occuper du repas de la damoiselle!

Ho, ça m'aurait étonné aussi que tu cours pas à l'étage!...
Menelwin jeta un regard dure à son vieux père et lui envoya un coup^de poing dans les reins en passanr derriere.
Tais-toi et sois heureux que je ne t'ai pas encore abandonné au loups de la forest!
Occupe toi plutôt de cet estranger!

Menelwin entra dans la cuisine.
Hé il doit bien rester encore la moitié de l'ours au miel et au ayrelles...
Menelwin prépara un plateau.
Hum encore un peu des fois que l'on soit deux dessus, certaines activitées donne faim...
Puis il sortit chargé du plateau en se disant qu'il s'annoncerait une fois entrer dans la chambre et qu'avec un peu de chance l'étrangère serait de noir dévétue... Menelwin monta l'escalier.

Nombre de messages : 43 Date d'inscription : 02/02/2007

Oma se réveilla grâce aux rayons du soleil qui passait au travers des épais rideaux! Elle était là, allongée sur le lit, dans cette chambre qu'elle n'avait pas revue depuis une éternité!Mais que faisait-elle ici, elle qui s'était promis de ne plus jamais revenir
Elle ferma ses yeux, et réfléchit au derniers évènements qui l'on ramené dans la maison familiale. Elle revi le preux chevalier qui arriva chez elle, dans cette nouvelle vie qu'elle avait tant désiré, lui tendre un parchemin et une petite boite qui contenait les clés de la maison familiale.
Elle se revoit entrain d'ouvrir ce parchemin, les mains tremblantes, la peur au ventre, et a la vue de ces mots qu'elle n'auraitjamais voulu lire, elle comprit qu'elle se retrouver seule au monde............
Mais pourquoi être partie sur un coup de tête! Elle ne reverrait jamais ces parents a présent!
Elle se revoit entrain d'atteler son cheval, de prendre quelques affaires pour rejoindre son village, sa maison.

Elle soupira :

Maudit coup de tête!

Elle était arrivée dans la nut et épuisé avait regagner son lit ou elle tomba dans un profond sommeil.
Mais ce matin, il fallait ouvrir les yeux, voir la réalité,redécouvrir la maison, le village....

Elle se secoua, se leva et se dirigea vers l'extéreur pour prendre de l'eau et là sur le pas de la porte, elle admira la beauté de son village au lever du jour!
Les rayons du soleil jouaient avec les différentes textures des maisons, l'eau de la fontaine ressemblait a des petits brillants, elle sentait l'odeur du pain qui sortait de chez le boulanger.....

Non comment avait-elle pu quitter thiercelieux!

Morla dormit peu, quelqu'un frappait à la porte. La douleur du fer rouge se réveilla en même temps qu’elle, rendant Morla de très mauvaise humeur. Elle enfila rapidement sa cape et aboya :

- Entrez !

Le fils du tavernier lui apportait à manger, une belle assiette qui sentait bizarre. Elle prit le plateau et s’assit sur le lit. Morla essaya de deviner le contenu de l’assiette mais n’y parvint pas. Son ventre affamé la poussa à goûter et elle commença à manger. Elle observait d’un œil le fils du tavernier. Une fois qu’elle eu englouti l’intégralité de l’assiette, elle s’adressa au jeune homme, d’un ton méfiant :

- Comment te prénommes tu ? Tu travailles ici ? J’apprécierais ta discrétion quant à ma présence ici, j’ai eu quelques ennuis ces derniers jours.

Morla se leva et jeta une bourse d’écus sonnants et trébuchants au jeune homme. Elle attendait que le jeune homme quitte la chambre pour s'habiller et descendre dans la taverne

D'un coup d'une traite, alerté par le bruit de nouveaux visiteurs, Bernardo se réveilla dans son vieux tonneau - Celui-là même qui avait appartenu à Walex, le joueur de cartes célèbre par sa malchance chronique.

Il était arrivée deux hivers de cela à Thiercelieux, alors qu'il était encore marchand de tapis. Lâchement abandonné pendant son somme par son maître après des années de dur labeur à son service, il avait depuis pratiquement réussi à refaire sa vie. Lui qui était arrivé ici avec presque rien, il avait accumulé les petits boulots ; Le premier d'entre eux était celui de forgeron, le précédant villageois tenant ce poste ayant été malencontreusement envoyé au bûcher. Mais son travail avait été si désastreux qu'il fut rapidement remplacé, et embauché comme tisserand. Là encore, il ne tint guère longtemps. Il lui arriva même de remplacer le tavernier pendant l'un de ses nombreux congés maladie... jusqu'à ce que son fils ne le remercie à coups de savates. C'était ce jour là où il comprit pourquoi le tavernier devait si souvent prendre du repos. C'est qu'il cognait fort, son fils !
Il trouva refuge à l'église, et se mit à prier. Le nouveau prêtre le prit sous son aile, et lui enseigna la parole divine. Bernardo en fut ravi. C'est alors qu'il devint croyant. Baptisé, il fut ensuite l'un des fidèles les plus pratiquants de la région. Et quelques semaines de cela, il fut nommé diacre de la petite église de Thiercelieux par le prêtre Azraël. Azraël... il n'arrivait pas à se souvenir pourquoi, mais il aimait ce nom. Azraël lui offrit une nouvelle guitare, et il pu animer la messe en accompagnant la chorale avec son instrument.

Bernardo avait une vie pleine et joyeuse. Malheureusement, sa bicoque fut tellement délabrée qu'elle s'écroula la veille. C'est ainsi qu'il se retrouva à nouveau dans ce vieux tonneau. Un tapis pourrissait à côté, mais son odeur jadis si caractéristique avait disparu.

Aujourd'hui, de nouveaux visiteurs avaient fait irruption... tant de souvenirs lui revinrent en mémoire ! Tout cela ne lui plaisait guère.

scratch

Végoku se réveilla très tard se jour une fois réveillé il alla travailler dans son champs derrière sa demeurre...

Deux heures plus tard quand il eut finit son travail matinal il s'allongea au milieu du champs les bras en croix et les yeux fermés.

Menelwin avait été déçu l'étrangère de noir n'était point dévétue à son entrée dans la chambre, juste sa cape de voyage, enfin il avait pu admirer ses magnifiques formes et c'était déjà ça.

- Comment te prénommes tu ? Tu travailles ici ? J’apprécierais ta discrétion quant à ma présence ici, j’ai eu quelques ennuis ces derniers jours.

Menelwin, c'est ainsi que les demoiselle m'appellent. ...en public car en privé il y à souvent force de voyelles avec ce nom.
Garder votre or ce n'est pas ainsi que vous pourrez m'acheter. répondit Menelwin en regardant la couche où la cape de voyage etait étendue... elle.

Menelwin quitta la chambre en riant en en souhaitant un bon appétit à l'estrangère et descendit dans la salle commune.
Mange et repose toi afin d'etre en forme toute la nuit si il le faut, se dit Menelwin, ce soir une dame achètera peut etre ton silence à force de râles de plaisir....

Nombre de messages : 344 Date d'inscription : 05/10/2006

La jeune femme se réveilla aux aurores..comme chaque matin... Elle se prépara un bon chocolat chaud.. et s'assit à la table de sa terasse... Le regard plongé sur le mouvement régulier de sa cuiller, Kara songeait...

Elle crut voir le visage de son aimé dans le nuage de lait.. sa main continuant de tourner lentement la boisson..le visage disparut..tandis qu'une larme roulait le long de sa joue, et qu'une autre s'écrasait sur la table en chêne...

Une envie irrésistible la prit... elle se leva.. et partit.. sans avoir bu la moindre gorgée du chocolat chaud...

La Damoiselle déambula dans le village inerte... Et se rendit sur la colline qui dominait les habitations....

Une brise fraiche balayant son visage, la jeune femme laissa les larmes couler... Elle n'arrivait pas à lui en vouloir... elle voulait juste comprendre.. pourquoi.. pourquoi il l'avait abandonné...

Lorsqu'elle n'eut plus de larmes à verser, le soleil s'était élevé...

Kara redescendit.. passant par la riviere pour se passer un peu d'eau sur le visage, et se donner meilleure contenance... Elle passa ensuite devant l'auberge..et hésita...

Elle prit ensuite la direction de celle-ci... un peu de compagnie ne lui ferait pas de mal...

Nombre de messages : 28 Date d'inscription : 16/01/2007

Dame Madeleine s'était réveillée de bonne heure, avec le chant du coq.... elle profita de la rosée du matin pour aller arroser son potager...

Elle vit passer devant chez elle son voisin.

Bonjour sieur Patsy, alors ça va mordre aujourd'hui?

Dit elle en rigolant et continua à arroser....

Nombre de messages : 254 Age : 36 Date d'inscription : 07/10/2006

Torm se réveilla fort tard ce jour là. La nuit avait été longue et il fallut un bon moment avant que le soleil ne le tire de ses songes. Torm se réveilla avec la tête dans le cul. Cela irait s'il avait simplement la tête dans le cul, mais il se réveilla avec la tête dans le cul d'Herudur. Retirant rapidement sa tête de l'antre malodorante, il cogna un chandelier qui vint frapper le sol. Le bruit réveilla Herudur qui demanda:
-Tu es déjà réveillé mon chou? Quelle heure est-il?
-Rendors-toi mon beau. Je ne sais quelle heure il est. De toute façon, notre royaume est celui de la nuit, tu le sais bien Sié!

Torm se leva. Il mit un bon bout de temps avant de retrouver son caleçon..."Mais où cette grande folle de Sié me l'a-t-il retiré?" Parce qu'en plus, Tormereth et Herudur ont un fort penchant pour la bouteille, voire le tonneau...Lorsqu'enfin il retrouva ses atours, Torm sortit. La lumière l'aveugla et l'obligea à se mettre les mains devant les yeux.

Une fois la vue retrouvée, il apperçut deux, trois personnes vaquant à leurs occupations. Il les salua de sa plus belle voix: "Youyouuuuu, comment allez-vous?...yau de poêle! Hihihihihihi, elle est marrante, non?"
Bizarrement, personne ne lui retourna ses salutations. "Sûrement des étrangers", se dit-il.

Il arriva enfin à destination. Il faut savoir une chose c'est qu'Herudur et Tormereth se sont donné des petits noms qu'ils n'utilisent qu'entre eux-deux, ou la nuit et le surnom de Tomereth est Wahième. Réunissant leurs deux surnoms, Tormereth et Herudur ont fondé une sorte de taverne qui s'appelle le "Waihième-Sié". Tout les soirs, Torm et Herudur dansent là-bas pour le peuple du village sur des rythmes que le cureton Azrael définit de diaboliques.

Il ouvrit la porte et se trouva dans un bordel innommable. Les tables étaient renversées, des pantalons trainaient à terre et des choppes étaient brisées. Il se mit au rangelment de se qu'il appelle sa "boîte".

Végoku se releva quand il vit que le soleil était à une bonne hauteur dans le ciel.

Il se leva en enlevant la terre qu'il y avait sur ses vêtements et pris la direction de l'auberge.

Arrivé à l'angle d'une ruelle Végoku vit debout sur le seuil d'une maison une demoiselle qu'il ne conaissat pas ( oma ) mais qui lui rappelait quelqu'un.
Végoku laissa ses questions sans réponses derrière lui et alla accueillir la nouvelle venue.

Bonjour Mademoiselle je vous souhaite la bienvenue à Thiercelieux!
Je me présente Végoku un habitant du coin et vous comment vous appellez vous ?

Nombre de messages : 43 Date d'inscription : 02/02/2007

Toute a ces pensées matinales, oma vit sortir de l'angle d'une ruelle un jeune homme qui la regardait fixement!
Elle vit le jeune homme s'avançait et plus il approchait, plus son visage avait un air connu il lui rappeler vaguemet un ami d'enfance mais tous ça était déjà si loin!
Végoku votre nom me parait familier, mais mes souvenirs me lachent, cela fait tellement longtemps que j'ai quitter ce village!
Excuser- moi, j'oublie toutes les règles de politesse, je me présente, je me nome oma, et je viens repprendre possession de la maison de mon enfance après le décés de mes parents! Pourriez- ous me dire ou je pourrais pendre un petit déjeuner, je suis arriver dans la nuit et je doit avouer que je manque de vivres?

Nombre de messages : 173 Date d'inscription : 11/01/2007

Dans sa boulangerie, Johane vit entrer Miles tout guilleret , qui comme chaque matin, venait acheter sa miche de pain. Elle lui fit un grand sourire et lui répondit :

Bonjour Miles, je pense que nous allons avoir une très belle journée. Que puis je vous servir ?

Tout en parlant, elle lui prépara une miche de pain bien cuite et croustillante.

Organisateur Nombre de messages : 937 Age : 45 Date d'inscription : 30/09/2006

Dazibao, le maire de Thiercelieux, se réveilla alors qu'il faisait jour depuis longtemps.
Sa tête bourdonnait désagréablement. Il avait passé toute la nuit au "Waihième-Sié" à danser et boire comme... un trou.
Oui :un trou. Un trou de mémoire, noir et profond. Incapable de se souvenir de comment il est rentré à la mairie.
C'est quoi cette odeur ?
Sa voix raisonna et il dut porter les mains à ses tempes pour que la douleur cesse.
Restait l'odeur nauséabonde, qui ne faisait qu'ajouter à la nausée que ressentait le maire depuis son réveil.
Il chercha autour de lui.

Mais je suis où là ? Ah oui : la mairie. il l'avait déjà re-oublié.
A y regarder dans le détail, il était même dans son bureau... ou plutôt sous son bureau.
Avec peine, il s'extraya de sous le meuble. Au prix d'efforts inimaginable, il parvint à se mettre debout.
En homme d'expérience, il attendit les yeux fermés quelques minutes afin que les murs aient fini de tanguer.

Il ouvrit les yeux.
Il vit ce qui puait ainsi.
Il hurla en silence. Sa bouche s'ouvrit en grand, mais aucun son n'en sorti. Un sorte de réflexe archaïque de l'homme saoûl.
Son corps fut pris de frissons, de tremblements, puis ses jambes se lancèrent vers la porte et le reste de son corps suivit.
En dévalant les escaliers, ses poumons se décidèrent à expluser l'air enfermé dedans.
Un début de hurlement fut vite anéanti dans une grande gerbe du dîner de la veille. Son estomac avait apparemment décider de reprendre ses fonction en même temps que ses poumons.

Après avoir crépi le bas de l'escalier et de ses braies, le maire reprit laborieusement son souffle, puis vida le peu qui restait encore dans son estomac.
Reprends ton souffle ! Respire ! Ca va mieux ? oui un peu.
Alors COURS !!!!

Dazibao sortit de la mairie, fonça aux écuries, sauta sur son cheval.
Le maire traversa la place de Thiercelieux au galop, son hurlement couvrant largement les hénissements effrayés de sa monture.
La silhouette du cavalier disparut rapidement par la grande route dans un cri continu des plus éloquents :
AAAAAAAAAAAAAAAaaaaaaaaaaaaaaaaaah

Quand il entendit le prénom de la demoiselle il compris.Un sourire se dessina sur ses lèvres mais rien qui ne laissait comprendre qu'il l'avait reconnu.

Pour prendre un bon petit déjeuner je vous propose soit d'aller à l'aubergeDit-il en tendant son bras gauche dans la direction où il allait Ou soit je vous invite à manger chez moi mais je vous préviens je suis loin d'etre un cordon bleu mais ma cuisine reste quand même mangeable.

Tout en parlant il passa intérieusement qu'il allait bien s'amusé avec cette amnésie. ^^

Patsy s'était arreté pour discuter botanique avec Dame Madeleine, il aimait bien discuter de bon matin notamment avec cette jeune personne.
Mais un cri déchirant, venant de la mairie, vint troubler leur délicieuse conversation......
Patsy regarda Dame Madeleine et lui dit:

Il faut aller voir ce qui se passe.....

Patsy déposa ses affaires de peche et commenca à courrir vers la mairie.

Nombre de messages : 28 Date d'inscription : 16/01/2007

Je vous rejoins mais je vais aller chercher Monsieur le curé

Dame Madeleine alla jusqu'à l'église et entra ...elle trouva le curé assoupi sur un banc.

Elle reprit son souffle et commenca à le secouer:Réveillez-vous, réveillez-vous, il s'est passé quelque chose à la mairie, réveillez vous.......

Elle n'attendit pas que le curé immerge de son sommeil et continua sa course jusqu'à la mairie.

Gollum se réveilla effrayé par ce cri...
Qui ose crier d'une telle manière?Pourquoi faut-il aller à la mairie? Il ne faut pas... j'ai un mauvais pressentiment...Gol-lum, Gol-lum, Gollummmm

Nombre de messages : 43 Date d'inscription : 02/02/2007

Oma remercia vegoku pour son offre de petit déjeuner et lui dit :

Meci bien, végoku! mais je crois que l'auberge est un bonne solution, je ne voudrais pas a peine revenue m'imposait a vous de cette manière!

"ha! satané mèmoire, il va falloir que je creuse mais souvenir moi!"

Par contre, si vous le voulez bien c'est moi qui vous invite!

[i]Au même moment se fit entendre un cri des plus poignant! Que pouvait-il bien se passer!
Oma regarda végoku, en attendant une réponse....

Menelwin n'était pas parvenu à ces fin avec Morlat, mais ce n'étais que partie remise.
Héhé et comme on dit plus l'attente est longue...
Enfin comme Menelwin n'était pas trop du genre patient, il s'était rendu dans le grenier et avait rampé jusqu'au dessus de la chambre de Morlat.
Et par un trou presque naturel..., comme dans tous les plafonds de l'auberge donnant sur une chambre, il s'était offert un avant gout de Morlat.
Puis il était allé se coucher, une fois la lumière mouchée par Morlat, et avait fait de tres beaux rèves.

Le matin c'est un cri et une cavalcade de cheval qui l'avait tiré de son rève voluptueux.
Si j'attrape celui qui m'a tiré de mon reve ça va lui couter cher!
Menelwin se leva doucement et s'habilla en essayant de se rememoré les meilleurs parties de son reve. Et c'est avec le sourire qu'il descendit dans la salle commune.