Panique à Thiercelieux 5

Un ours ? Et le maire à fuit? Bon que m'importe... Menelwin remarqua alors Tormereth qui semblait le fixer et arreter des que Menelwin portait son regard vers lui. Bien qu'ami d'enfance, Menelwin, ne supportait plus les regards coulants que lui lançait Tormereth et l'évitait autant se faire ce peu depuis cette horrible nuit...
Et bien damoiselle et si vous me montriez cette blessure je suis certain de pouvoir vous apporter quelque réconfort...
Et je suis certain que vous poucez calmer mon ennervement , songea à suivre Menelwin...

Nombre de messages : 254 Age : 36 Date d'inscription : 07/10/2006

Tormereth observait "discrètement" Menelwin. Qu'il doit être fort songea-t-il, mais l'homme parraissait menaçant. Tormereth remarqua que presque tout le village était là. Et même des étrangers, dont un homme qui attirait toutes les demoiselles comme une déjection canine attire les mouches. Haaaan, un de moins. Encore un qui ne connaitra jamais mes charmes se dit Torm. Voyant tout ce monde, et voyant que Menelwin était fort occupé avec une greluche, il parla de sa plus belle voix:
Oyez, oyez, cher peuple du village. Comme la nuit est déjà bien avancée, je vous propose que nous festoyons dans une bonne ambiance, pour chasser les petits soucis de la journée au "Wahième-Sié" qui se situe de l'autre côté du village. Nous avons moult musiciens qui joueront pour vous toute la nuit s'il le faut.

Tormereth traversa la place espérant entrainer quelques villageois avec lui. Lorsqu'il arriva devant la porte du "Wahième-Sié", un garde discutait avec un homme, qui voulait rentrer dans la "boîte".
Désolé, cela va pas être possible...
Mais, pourquoi?
J'aime pas tes chaussures. Allez dégage ou je t'étrippe et fais une jolie guirlande avec tes intestins

Tormereth intervint à ce moment là:
Garde, laissez le rentrer. Comment voulez-vous que je m'enrichisse si vous laissez tout le monde à la porte. Veuillez excuser mon garde, Monsieur. Et une bonne soirée

Tormereth entra et commença à faire la fête...

Kimarhi entendu la question de la demoiselle qui s'était faite discrete jusque là.

-Bonjour mademoiselle, je ne sais pas se qui s'est passé dans se bureau, tout ce que je peux dire c'est que ce fut tres violent...

Le fait qu'il parle d'un ours avait surpris du monde, mais il ne pensait pas a une tel bete dans un village. les ours ne viennent pas vers l'homme, surtout en cette période de l'année.

-Je ne pense pas qu'il s'agisse d'un ours, mais la personne qui a fait sa doit etre d'un force et d'une violence terrible pour infliger de tels blessures.
-J'espere n'effrayer personne en disant cela, je cherche juste une explication a un tel acharnement, mais dites moi quelqu'un saurait-il de qui il s'agit? Et pourquoi votre maire aurait-il prit la fuite? Ne pourrait-il pas etre responsable de cet acte horrifiant?

Le métier d'agent de police qu'il avait pratiquer lors d'un long passage dans une des villes qu'il avait visiter, avait repris le dessus... Il cherchait une réponse a un tel déchainement de violence.
Puis il se retourna vers les demoiselles qui étaient a ses coté.

-Mais etes vous du village mesdemoiselles? Peut etre pourriez vous m'aider a m'installer... Malgré cet événement, que je pense exceptionnel, je compte m'installer parmi vous...

Puis un homme avec un comportement disons.... éféminé proposa d'aller se détendre dans une boite a troubadour.

-Quelle bonne idée messire!! Cela nous fera le plus grand bien. Mesdemoiselles, permettez moi de vous demandez si vous comptez nous accompagner? J'en serais ravi et cela serait l'occasion pour moi de découvrir les habitants de ce petit bourg.

Bernardo entra à son tour à la taverne. Trop réfléchir lui avait donné soif. Il se dirigea vers le tavernier, et lui tint à peu près ce langage :

, Wink

) \

/ l:drunken:l

Menelwin s'approcha de Kimarhi.
Et bien estranger tu risques de ne pas etre décu de ta soirée et je paris que tu ne dépareillera pas des habitués peints en comme jouvencelles que l'on peut y voir.

Damoiselle je vous déconseil ce lieux de dépravation, aux mets déplorable. Par contre si vous le désirez Mesdames on peut vous servir la spécialité de la taverne... de l'ours au miel et aux ayrelles.

Enfin si l'une d'entre vous avait quelques talents de guériseuse , il se trouve qu'une personne en aurait besoin.

Menelwin détaillait, tour à tour, les jeunes femmes toutes l'ennervant plus que la précédente. Et si il y à une guériseuse j'ai comme une sorte de crampe dont elle pourrait s'occuper aussi , se marmonnat mentalement Menelwin.

Nombre de messages : 7 Date d'inscription : 28/01/2007

Miles sourit à Johane et lui dit :
-Je trouve aussi !
Une miche de pain s'il vous plait .
J'ai hate d'en profiter aujourd'hui je n'ai rien à faire.

Johane lui donna en échanges de quelques pieces une miche de pain croustillant....

-Ah je vois que comme d'habitude vous savez ce que je veux !
J'adore le pain croustillant
Je vous remercie Johane !
Bonne journée à vous.

Miles avait déjeuné lorsque la nouvelle d'un meurtre lui était arrivée au oreilles, il s'enferma alors chez lui pour éviter de prendre des risques.

-On est plus en sécurité nul part avec tout ces chauffe pieds brigants et autre monstre de la nature humaine !

Il s'installa alors dans son fauteuil pres de la porte et de son baton de berger, il avait été autrefois un formidable berger mais l'infortune lui avait enlevé ses betes une par unes jusqu'a ce qu'il n'en ai plus, pres a s'en servir à la moindre visite suspecte.

En tout cas Menelwin n'était pas pret de remettre les pieds ou autre choses au Waihième-Syé. La nuit d'inauguration lui avait suffit... Et c'était tans mieux pour son pauvre pere de tavernier...
Menelwin se souvenait de cette semaine passé enfermé dans sa chambre à détruire tous ce qui lui tombait sous la main, apres cette fameuse soirée, et son père qui avait forcé sa porte en avait aussi payé le fruit et s'en était sortit à bon compte, Menelwin ne s'était pas encore procuré le poignard qu'il portait désormais toujours. Une chance pour son pere qui s'en était tiré avec des cotes félées, un bras cassé et une tête de punching-ball.
Depuis son pere etait devenu son souffre douleur et se méfiait des acces de violence de son fils.
Bon sang se disait Menelwin tout ça c'est de sa faute aussi, il était normal... qu'il paye pour ça.

Patsy avait du mal à se remettre de cette vision de corps mutilé. Assis à la taverne, il avait fait comme tout le monde, il avait écouté, dit son point de vue sur ce meurtre etc......

Là assis à une table, seul et un peu saoul, il se remémorait cette découverte:

Un ours, comme si un ours pouvait rentrer dans un village comme ça sans etre vu...et le maire pourquoi a-t-il fuit? a-t-il vu quelque chose?

patsy retourna dans ces pensées

Azraël s'était encore assoupis sur un banc de l'église, sans doute fatigué d'avoir eu à ouvrir la lourde pourte de l'église.... Il lui avait même semblé être secoué, mais étant en plein rêve il n'avait pas bronché, ah et quel reve ! on le nomait pape ! et il avait encore moins de boulot qu'à Thiercelieux et gagnait beaucoup plus !

Un jour venait de s'écouler et il fut réveillé par la lumière du jour qui frappait le vitrail et se reflètait dans sa figure, il se redressa et quitta ce banc trés inconfortable, il sortit de l'église et alla chez le boulanger, histoire de connaitre tout les derniers potins, Johane lui raconta l'histoire du meurtre d'hier dans le bureau du maire, maire qui d'ailleur avait fuit.

*Mais quel couard ce maire ! même pas capable de prendre ses responsabilités, il a du encore festoyer dans ce bar à........*

on pouvait lire le dégout sur le visage d'Azraël

*enfin il a surement du boire comme un trou et repartir en compagnie d'un de ces......... brrrrrrrrr, priez pour eux, paix à leur ame..... et à son réveil il aurait eu une révélaiton aurait étripé le bougre et prit la fuite, il était temps que le saint esprit l'atteigne ce cher Dazibao !*

Il décida d'aller voir la scène du meurtre de plus prés, il poussa la porte de la mairie, une odeur immonde s'engouffra dans ses narines, il porta un mouchoir à son nez, les relants de cadavre avaient sans doute pris encore plus d'ampleur depuis la veille. Le prêtre grimpa les marches une à une en prennant soin d'éviter le vomi, il accèda enfin au bureau du maire, là sur le bureau, un cadavre...... complètement défiguré, méconnaissable, enfin pas si méconnaissable que ça, il reconnu les chausses violettes de Gigi, débauché, barman au Moi j'aime skier. Il n'y en avait qu'un qui avait de pareilles chausses, il s'en souvenait bien, le pretre les avait fixé longuement lorsqu'il avait baissé la tête pour ne pas regarder dans les yeux Gigi qui l'avait dragué une fois à la boulangerie...
Il examina de plus près le corps, il poussa les cheveux long qui étaient sur le coup de la victime et tomba sur quelque chose d'inattendu, là sur son cou, un morsure, deux point rouges sans coulée de sang, une morsure de........ non impossible ! ça défiait toute logique, c'était une légende !

Il dévala les marches deux par deux et coura à l'église en direction de son bureau. Il pris sa plus belle plume et un bout de papier pas trop abimé et commença à écrire.

Citation :: Monseigneur le cardinal,

Je demande toute votre attention, je viens de constater quelque chose d'étrange dans le village où je suis en fonction, Thiercelieux.

En effet, hier a eu lieu un meurtre dans le bureau du maire, en examinant la victime de plus près j'ai découvert une morsure dans son cou, elle ressemblait fort à une morsure de....... Vampire.

Je vous prie de nous envoyer votre meilleur inquisiteur, car je crains fort que ce village soit habité par le démon....

Merci d'avoir pris le temps de me lire, j'attends votre inquisiteur au plus vite.

Azraël, prêtre de Thiercelieux.

Il cacheta l'enveloppe et y rajouta le sceau de l'église. Il porta la lettre à un coursier, lui donna quelques écus et le regarda prendre la route.

Bernardo vit l'expression de terreur du prêtre. Il alla le rejoindre, et lui demanda de qui n'allait pas.

- - Neutral

- )

( l:(l ! confused

!
- C'est au sujet du cadavre découvert à la mairie... l'as-tu vu Bernardo ?
- ' scratch

}

{ (

)
- Oui, vraiment très horrible. Il s'agissait de Gigi... paix à son âme.
- ':suspect:j \ rabbit

/ ~

~
- En effet, elle a été mordue. Il me semble également que c'était l'oeuvre d'un démon... Ou plutôt celle d'un vampire !
- \ Shocked

/ (

) _

_

=
- Très bien, mêne ta petite enquête. Mais n'en parle à personne !
- ' king

)

Sur ce, Bernardo retourna au lieu du crime. Il se mit à inspecter les coins et les recoins de la scène, afin de trouver d'éventuels indices...

Menelwin proposait à Morla de jeter un coup d'oeil à sa blessure

Je reviendrais te voir plus tard Menelwin, il faut que je prenne l'air, il y a décidement trop de monde dans cette taverne. Avant de partir, je te déconseille de souffler mot à quiconque de ma blessure, il t'en coutera cher, crois moi!!

Morla sorti de la taverne en évitant de croiser le regard des autres villageaois.

C'est bien ma veine pensa-t-elle! Je viens ici me planquer quelques jours et on a un meurtre sur les bras..... les sergents seront peut être là d'ici quelques jours, va falloir être discrète

Morla traversa la place et se rendit à la mairie. Comme elle l'avait supposé, il n'y avait personne. Elle se dirigea vers le bureau du maire. Le spectacle était pour le moins morbide. Un corps gisant dans son sang et une odeur pestinentielle. Morla jeta un coup d'oeil rapide dans le bureau et son regard tombé que quelques de valeur: un chandelier, un écritoire et quelques piécettes qui trainaient sur un coin de meuble. Morla mit le tout dans sa besace et sortit de la mairie, un peu déçue du peu de valeur des objets dérobés.

La journée avançait à Thiercelieux, ainsi que partout ailleurs, en fait !

Il était entre 8h et midi lorsqu'une calèche fit son entrée dans le village, ralentit en arrivant sur la place principale du village, puis se rangea juste entre la mairie et l'église. Une petite dame respectable mais pas encore âgée en sortit pendant que le cocher commencait à décharger les quelques bagages : une grande malle ainsi qu'un sac de voyage à main.

La dame prit le sac de voyage, ouvrit la porte du bâtiment attenant à la mairie et y pénétra, suivie du cocher portant la grande malle. Elle ignora les marches ainsi que la première porte à sa droite et se dirigea droit vers une autre porte qui s'ouvrait sous les escaliers. Tenant la porte grande ouverte, elle laissa le cocher déposer son fardeau dans la pièce principale, qui servait à la fois de cuisine et de salle à vivre.

Après avoir payé et remercié le cocher, la dame le raccompagna à la porte du bâtiment et le regarda s'éloigner vers la sortie du village. Fermant précautionneusement la porte, elle retourna à son appartement et commença à sortir toutes ses affaires de la grande malle. Vêtements retournèrent dans la penderie de la chambre, accessoires de toilettes allèrent se loger à leurs places dans la salle de bain, chausses et petit sac à main retournèrent dans la penderie de l'entrée, où les rejoignit le léger mantel qu'elle portait sur elle.

Lorsque tout fût en ordre, la petite dame rangea la grande malle vide et beaucoup plus légère dans le débarras. Elle avait prit un petit déjeuner sur le chemin pendant une pause du cocher sur le long trajet qui l'avait ramenée chez elle, aussi ne prépara-t-elle rien à manger et sortit-elle.

Elle referma à clef la porte du bâtiment, sur le fronton duquel était peint et quelque peu défraîchi, le mot "ECOLE".
Suzan était l'institutrice du village et ce depuis bientôt 20 ans. Elle avait connu nombre des villageois dans ses classes et les plus jeunes avaient appris avec elle à lire, écrire, compter ainsi que les bonnes manières, le savoir-vivre, un peu de géographie, de catéchisme en accord avec l'ancien prêtre et pour les demoiselles, la couture et la cuisine.

Dans le village, tous respectaient l'institutrice, qui savait se faire obéir par les plus récalcitrants, sans jamais oublier de respecter chacun de ses élèves. Certains l'appelaient d'ailleurs encore "maîtresse" à son grand amusement. Suzan allait fraîchement sur ses 40 ans, elle enseignait depuis l'âge de 18 ans et appréciait toujours autant ce métier. Dans ses cheveux blonds cendrés, quelques mèches commençaient à grisonner, mais cela ne l'inquiétait pas outre mesure : le temps vient à chacun de vieillir, il faut savoir l'accepter et vivre avec son temps !

Durant l'été, les enfants devant aider leurs parents aux moissons, l'école fermait ses portes et la maîtresse se retrouvait au "chômage technique", bien que ce terme sonna à ses oreilles comme une vieille formule magique qui ne lui disait rien qui vaille. Aussi profitait-elle du premier mois des "grandes vacances" pour rendre visite à sa soeur dans un village éloigné du nom de Valtordu. Puis elle revenait à Thiercelieux pour le mois d'août, afin de préparer la rentrée.

Se dirigeant vers l'église, elle commença par aller saluer Azraël, jeune prêtre avec qui elle s'entendait à merveille depuis son arrivée. Hélas celui-ci avait une bien mauvaise nouvelle, la mort du "barman" de l'auberge de débauche (bien que ses activités fussent condamnables, nul ne méritait la mort de façon apparemment si violente) ainsi que la fuite du maire ... Dazibao, heureusement pour lui, il était déjà adulte lorsque Suzan avait commencé à enseigner, car il se serait vu secoué les puces plus souvent qu'à son tour ! Ce devait être un véritable chenapan, enfant ...

Suzan eut une pensée pour le pauvre homme décédé ainsi que pour le maire effrayé puis demanda au curé où se trouvaient les villageois. Il lui semblait que nombre d'entre eux se trouvait à l'auberge, ainsi que quelques visiteurs.

Suzan se rendit donc à l'auberge, salua le tavernier, qui était déjà là lorsqu'elle-même était encore enfant, mais qui semblait beaucoup vieillir depuis quelques temps ...

Saluant quelques villageois qui lui demandèrent de ses nouvelles, elle aperçut à une table le visage d'une jolie jeune fille, assise près de Vegoku. Ce visage lui semblait familier et soudain, le déclic :

"Oma, est-ce donc toi ? Quelle incroyable surprise, mais que tu as grandi et est devenue belle ! Dieu, que tu nous a manqué, si tu savais comme tes parents se sont inquiétés après ton départ précipité ... Suzan eut soudain le visage triste et s'approchant, elle serra l'épaule de la jeune fille ... Je suis vraiment désolée, je te présente toutes mes condoléances et il est vraiment triste que ton retour dût se faire suite à un tel évênement ... Sache que si tu as besoin de parler, de te confier, je serai toujours une oreille attentive ... tu sais que j'ai éprouvé le même chagrin que toi lorsque mon mari a été retrouvé à l'orée de la forêt, tué par une bête sauvage ... N'hésite donc pas à me rendre visite, si tu le souhaites, tu seras toujours la bienvenue chez moi !"

Après avoir souri à la jeune femme, Suzan salua à son tour Vegoku, qui fût un enfant turbulent en classe, mais doué d'une curiosité poussée pour tout ce que la nature avait à lui présenter.

Aprés avoir "discuté" avec Bernardo, le prêtre le laissa mener sa petite enquête de son côté.

Déambulant sur la place dans l'attente d'une réponse de l'église il croisa Suzan, l'institutrice, qui revenait de "vacance", il la salua et lui parla des évènements terribles de la veille.

Il la laissa vaquer à ses occupations, le prêtre faisait les cent pas, toujours pas de nouvelle de l'inquisition. Le maire avait pris la fuite laissant le village sans personne à sa tête, Azraël, lassé d'attendre, prit la descision d'organiser les élections pour trouver un successeur à ce couard de Dazibao, il parti dans son bureau écrire une annonce, annonce qu'il déposa sur le tableau d'affichage de la mairie, on pouvait lire.

Citation :: Chers Thiercelieuxin, Thiercelieuxines,

Des élections seront organisés pour élire un nouveau maire, elles auront lieu cet aprés-midi et le dépouillement sera fait demain comme le veux la tradition Thiercelieuxine. Une urne sera installée à l'école où vous serez invités à voter.

Merci à tous

Azraël

Je me présente pour le poste de maire, si une autre personne souhaite se présenter qu'elle me le signale, j'inscrirai son nom à la liste des candidats.

Aprés avoir affiché son mot il regagna l'église.

Organisateur Nombre de messages : 937 Age : 45 Date d'inscription : 30/09/2006

Le coursier revint bien plus vite que ne l'aurait cru Azrael. Il était porteur d'une missive :

Citation :: Mon fils,

J'ai intercepté votre courrier au Cardinal. Je me porte à votre secours.
Ma troupe et moi-même sommes à une journée de Thiercelieux. Nous devrions arriver en matinée de demain. Je vous prie d'ici là de faire une liste des habitants actuels du village et des suspects potentiels.

Qu'Aristote veille sur vous.

Son excellence Pyrophilus.

Bernardo continuait bon train ses recherches. Pas de trace d'ours. Les premières rumeurs étaient fausses. L'ours aurait forcément laissé des marques derrière lui, or là, rien... pas même une trace de miel collée à l'embrasure de la porte. Bernardo commença à chercher des indices concernant le passage d'un vampire... mais il dut bien vite se rendre à l'évidence : il ne savait vraiment pas à quoi pouvait ressembler un tel monstre !

, Rolling Eyes

)

Il resta un moment assis à réfléchir, lorsqu'il entendit du bruit dans la pièce à côté. Le vampire était-il revenu pour lui ? Il se mit à transpirer, et hésita à aller voir. Puis, il se souvint de ce qu'on disait sur eux : ils ne vivent que la nuit ! Hé bien, ce doit alors être quelqu'un d'autre... il pris son courage à deux mains, et alla voir. Il trouva une affiche, écrite de la main du prêtre Azraël. Il la lu, et fut étonné de l'annonce.

\ Surprised

/

Azraël, maire... hé bien pourquoi pas, après-tout. Mais il avait l'habitude depuis quelques mois d'une certaine connivence entre eux deux, et se serait attendu à ce qu'il vienne lui confier ce projet avant. Mais Bernardo comprit bien vite ce qui l'avait poussé à organiser si vite des élections et à se présenter... cela était certainement dû à l'urgence de la situation.

Nombre de messages : 344 Date d'inscription : 05/10/2006

Kara avait écouté les personnes parler... certains affirmaient qu'il s'agissait d'un ours.. d'autres non... on avait parlé d'un corps... mais aucun nom n'avait été prononcé...
la Damoiselle ouvrait la bouche pour poser cette question lorsque l'homme l'interrompit.. Elle le regarda mieux, et demanda : C'est à moi que vous parlez ? Si c'est le cas, oui.. je vis ici..depuis bientot 4 ans...

Elle eut un sourire triste.. et releva la tete..elle salua les personnes qu'elle connaissait.. Tormereth.. Végoku.. Menelwin...

Puis, des personnes entrerent..et parlerent.. le brouhaha lui emplit l'esprit.. bourdonnement incessant.. Mal de crane pas possible.. Elle vida son verre cul sec.. et eut les larmes aux yeux.. ça lui apprendra à boire trop...

Elle se leva, s'excusa, et repartit dans sa petite maison.. la 5° apres l'église.. la tete prete à exploser.. et les jambes en coton...

Elle s'allongea toute habillée sur son lit..et s'endormit.. quelques larmes sur ses joues.. preuve que son coeur continuait de souffrir..encore et toujours...

Le lendemain, La jeune fille se réveilla, comme à son habitude, aux aurores.. à peine fut-elle debout que le poids de sa tete sembla se décupler.. Elle maugréa..et alla se passer de l'eau glacée sur le visage..

Elle fit sa toilette, et, toute fraiche, toute belle, elle partit dans les rues de son village...

Elle passa devant le panneau d'affichage tandis qu'elle se rendait à la taverne..et haussa les épaules..

Peu lui importait l'identité du maire..apres tout.. vu ce que les anciens avaient fait pour la ville.. elle ne voyait pas l'utilité d'un maire..

Tant que c'était un villageois.. ça allait.. hors de question qu'un étranger se présente..du moins, pour le moment.. ils ne connaissent pas les villageois.. elle était meme persuadée qu'ils ne savaient meme pas combien Thiercelieux comportait d'habitants !

Elle passa donc son chemin, et poussa les portes de l'auberge.. Kara alla s'assoir directement à sa place habituelle, au bar... et commanda son cocktail, qu'elle consommait régulierement depuis quelques temps..

Nombre de messages : 28 Date d'inscription : 16/01/2007

Dame Madeleine vit au fond de la salle sieur Patsy; elle alla le rejoindre

Vous allez bien Sieur, pensez vous que cela serait possible un ours ici dans notre village sans que personne ne le voit?
Moi, je pense que c'est de la sorcellerie ou quelque chose comme ça?

Finalement, Kimarhi ne fit rien ce soir là, les propos du fils de l'aubergiste l'avait...comment dire...fait réfléchir.
L'aubergiste lui avait donné l'accès a une chambre, apres avoir été payé a l'avance... il était tres méfiant mais avait certainement ses raisons.

Une des deux dames qui était au comptoirs avait un air triste, peut etre connaissait-elle la personne a qui était arrivé se drame, elle lui répondit puis quitta la taverne.
Il discuta un moment avec la jeune demoiselle qui lui avait posé cette question...il apprit que comme lui elle venait d'arrivée.

-J'espere que vous arriverai a vous installer convenablement alors, sur ces mots je vais aller me reposer, je suis arrivé tot ce matin et la fatigue est là.

Puis il rejoint sa chambre, il se demandait quand meme se qui pouvait avoir poussé le maire a fuir comme un lache son village et ses habitants.
Il s'allongat sur son lit et tomba rapidement dans un profond sommeil.

Le lendemain matin il se réveilla tard, les claquement de porte et les déplacements des personnes présente l'avait tiré de son sommeil. il se rafraichit un peu, se recoiffa, se rasa, puis descendit prendre l'air. Tout en passant dans la salle principale, il attrapa un morceau de pain et salua les personnes présentes.

Il se promena quelques temps dans les ruelles puis se trouva devant la mairie, là était affiché qu'un maire allait etre élu. Il ne pensait pas du tout se présenté puisqu'il venait d'arriver, il ne conaissait personne.

Kimarhi s'installa sur la place du village pour réfléchir a se qu'il s'était passé en cette mairie. Il en profita pour manger son bout de pain et s'enfila une gorgée d'un alcool qu'il avait dans sa gourde, tout en observant les habitants s'affairé a leurs occupations.

Nombre de messages : 43 Date d'inscription : 02/02/2007

Devant tant de brouha, oma salua tout le mone est repris le chemein de sa maison. Elle s'arréta faire quelque provision et admira l''église. Elle se dit que ce lieux respirait le calme e en ce moment c'était plutot ce dont elle avait besoin.
En regagnant sa demeure , elle vit sur la porte de la mairie une affichette , elle la lit et repardit d'un pas vif. Décidément cette mairie ne lui disait rien de bien engageant.
Elle se débarrassa de ses affaire et partit directement se coucher............
Deux nuits de sommeil de plomb!
Elle se leva, repensa au évènement de la veille et se déida a aller faire un tour dans le village........;;

Morla avait passé la soirée de la veille dans sa chambre. La taverne était devenu un lieu avec beaucoup trop de passage et elle n'aimait pas cela. Elle se décida quand même à descendre en bas commander quelque chose à manger.Elle s'assit dans un coin, en évitant de regarder les autres personnes qui étaient déjà là. Une fois son petit déjeuner englouti, Morla se décida à aller se promener dans le village. Sur la place du village, elle apperçu un homme qui machouillait son bout de pain près de la fontaine. Elle s'approcha et lui demanda:

J'ai entendu des théories toutes plus farfelues les unes que les autres sur les évenements de la mairie, z'en pensez quoi vous?

[i]Morla en profita pour évaluer mentalement ce que cet homme avait sur lui, un beau pigeon, pensa-t-elle.

Menelwin appris par la rumeur que c'était Gigi le "barman" du Waihième-Syé qui avait été retrouvé sur le buereau du maire. trés bien se dit Menelwin avec la fuite du maire, ça fait deux ... dépravés de moins. Avec un peu de chance tous les ... dépravés du village vont détaler la queue entre les jambes. ce qui fait qu'il ne resterait en faite quasiment que de jolies vraies jeunes femmes. Menelwin sourit à cette réflexion.
On disait aussi que le curé Azrël, comptait reprendre le poste de maire; Menelwin ne savait trop quoi en penser. Un homme qui porte la robe et à vécu volontairement seul pendant des années rien qu'avec d'autres hommes... Même si il pinçait du bec quand il croisait un habitué ou patron du Waihième-Syé, Menelwin ne l'aimait pas trop... Qui plus est on ne le voyait jammais sauf de temps en temps pour quêter, pour le toit de l'église (neuf d'il y à trois ans) ou pour je ne sais qu'elle raison... Etait-ce une bonne idée de lui donner les clefs de la mairie... et de sa caisse? D'un autre coté personne d'autre ne semblait vouloir le poste...

Menelwin s'assit à la table discrète placé du coté ouvrant de la porte et s'abima dans la contemplation ennervante de dame Madeleine en discussion avec Patsy au fond de la taverne

Kimarhi, toujours perdu dans ses pensées, vu arrivé une charmante demoiselle. Celle-ci lui demandait son avis sur les derniers évènements de la veille.

-Asseyez-vous mademoiselle, nous serons plus a l'aise pour en discuter, je me présente je m'appel Kimarhi. Mon avis importe peu sur ce qui s'est passé, tout ceci ne me parait pas tres aristolicien.
-Des morsures de vampires parait-il, un corps en charpille, seul un etre doté d'une force et d'une violence phénoménale pourrais en etre capable. Sa ne sent pas tres bon, je craint que l'inquisition arrive tres vite. Le maire en fuite peut tres bien etre une sorte de lycan, mais ses monstres ne vivent qu'en groupe généralement.

Puis il attendit la réponse de la femmes a ces coté, tout en la scrutan de haut en bas, elle était ma foi fort jolie malgré ce mystere dans son regard.

Morla s'assit à côté du jeune voyageur, sur le bord de la fontaine.

- Enchanté Kimarhi, on me nomme Aicelyne. Je suis moi aussi de passage dans cet étrange village. Mais aux vues des évenements récents, je pense ne pas rester très longtemps, les habitants me semblent bien louches. J'espère qu'on trouvera les coupables, je ne crois pas à ces histoires de démons surnaturels, ni en rien d'autres d'ailleurs. Ce ne sont que des fables racontées par les prêtres pour faire peur aux esprits faibles

Tout en discutant avec l'homme en bleu, Morla coupa le lien de la bourse de Kimarhi avec sa dague et la cacha sous sa cape.

Merci de m'avoir donné votre avis voyageur, je m'en retourne au chaud dans la taverne

Morla traversa la place, la bourse du voyageur toujours dans la main et rentra dans la taverne, toujours en pleine effervescence. Elle repéra Menelwin a une table sur le côté de la salle, vint s'assoir en face de lui et lui demanda.

Ma blessure a besoin d'être nettoyée, je n'y arrive pas toute seule et j'ai besoin de ton aide. Crois bien que si j'avais le choix, ce n'est pas à toi que j'aurais demandé, alors ce n'est pas la peine de baver. Si tu pouvais apporter un linge et de l'eau chaude dans ma chambre..... et vite!

Morla se dirigea vers l'étage et gagna sa chambre.

Nombre de messages : 254 Age : 36 Date d'inscription : 07/10/2006

Tormereth s'était réveillé tôt ce matin là. Il avait du s'etirper d'un mauvais rêve qui lui faisait attrocement peur: il avait rêvé qu'il se trouvait dans les bras d'une femme. Il s'était réveillé en sueur et n'arrivait plus à retrouver le sommeil. Pour ne pas réveiller son compagnon, il sortit et partit se baigner dans la rivière. Il y resta des heures et, sur le chemin du retour, il cueilla quelques jolies fleurs pour les offire à la prmière demoiselle venue. Non pas pour lui plaire, mais Tormereth a un profond respect pour les femmes, pas comme certains dans ces régions barbares...

Il arriva sur la place du village et entra immédiatement à la taverne où il rencontra foule de gens connus et inconnus.

Végoku était aller se coucher au moment ou Torm essayait d'ammener tout le monde dans sa "boite".

Une fois chez lui Végoku se mit à réfléchir sur ce qui avait bien pu attaquer la personne du bureau. Il y pensais tellement qu'il n'arrivait pas à dormir il décida donc de faire une tarte pour passer le temps.

Il finit par en conclure que la personne a dut etre tuer par Dazi qui n'était pas un être humain "normal".

Puis au lever du jour Végoku alla cueillir quelques fleurs dans son champs et déposa les fleurs et la tarte sur le porche d'Oma.

Végoku alla ensuite travailler dans son champs et une fois finit il s'allongea les bras en croix en regardant le ciel...