Panique à Thiercelieux 6

Lorette se réveilla de très bonne humeur se matin là. Le soleil brillait, les oiseaux chantaient ..... et son client ronflait....

- Bon Dieu ! Tu vas la fermer oui !

Lorette poussa violemment le ronfleur d’un coup de pied et le fit tomber du lit.

- Hey ! Non mais ça va pas ! Tu m’as l’air bien timbrée pour une fille folieuse ! C’est tu que les ribauderies sont interdites ici, je te conseille de filer doux si tu veux pas que je te dénonce ! , lança-t-il.

- Non mais ho ! Vu ce que tu me paies tu t’attendais à quoi ? Si t’es pas jouasse, barres toi, je te retiens pas !

Lorette se leva, le drap enroulé autour de sa taille, et alla ouvrir la porte, signifiant au client récalcitrant qu’il était temps pour lui de quitter les lieux avant qu’elle ne voit rouge. Le client sorti penaud, connaissant de réputation le sale caractère de Lorette.

Car Lorette était assez connu dans les environs, on faisait de la route pour venir dans le bordeau où elle œuvrait. La tenancière de l’établissement, Madame Ariette, « la Mère Harpie » comme la nommait « ses filles », tenait le bordel le plus à la mode des environs de Thiercelieux. Lorette y était entré pour la première fois il y a 4 ans. Une situation provisoire au début, mais le provisoire durait et Lorette était devenue la coqueluche des messieurs en manque d’amour des environs. Lorette ne souffrait pas de cette situation, elle était nourrie, logée, blanchie et gagnait très bien sa vie, par des plaisirs parfois surprenants. La seule chose qu’elle regrettait était le regard des autres villageois quand elle se rendait au village. Les femmes lançaient des regards pleins de morale et les hommes baissaient les yeux. Lorette les avait vu passer au bordel pour la plupart. Cependant, Lorette prenait ça comme un jeu, s’étant habitué à cette situation et croquait la vie à pleine dent.

Lorette s’habilla décemment ce matin là, elle devait se rendre au village faire quelques achats. Elle enfila une chemise beige, une robe rouge par-dessus, une ceinture noire à boucle d’argent (un cadeau d’un admirateur de ses prestations) et des chausses assorties. Elle attrapa au passage avant de quitter sa chambre un panier d’osier. Elle pris immédiatement le chemin du village, bien décidée à s’offrir un petit déjeuner royal à l’auberge.

En chemin, elle rencontra quelques villageois qui vaquaient à leurs occupations. Certains partaient faire des emplettes, d’autres partaient au travail. C’est en passant devant la mairie qu’elle remarqua une chose étrange...

Une charette apparut au sommet de la colline ellle était surchargée d'arme de bourse et même d'armure de brigand qui avait essayé de voler le voyageur.

Quelques minutes plus tard la charette entra dans la ville et le voyageur mis pieds à terre et regarda autour de lui à la recherche d'une écurie et d'une auberge.
Il vit une jeune femme passer a coté de lui et lui demanda :

Bonjour,gentes demoiselle.Pouriez vous m'indiquez le chemin qui mène à l'écurie?et celui qui mène à l'auberge?

Pour l'écurie vous allez tout droit puis vous tournez à gauche... Et l'aubger est juste à coté !

Vegoku la salua et alla dans la direction indiqué il laissa ses chevaux au palefrenier et pris les bourses qui trainaient sur le chariot et les rangea sous sa cape. Il commença à visiter la ville pour savoir où étaient les principaux batiments...

Le soleil passant par la fenêtre de la chambre avait fini par réveiller la gamine étendue dans son lit. Ouvrant grand les yeux, elle sourit au plafond et s'écria :

"J'adore l'été !!"

Puis elle sauta à bas de son lit, pris quelques vêtements dans une armoire, s'empêtra dans sa couverture qui avait été jetée à terre durant la nuit, puis fila dans la salle d'eau pour s'habiller d'une chemise à manches courtes pour l'été et d'une paire de braies légères qui avaient été coupées et ourlées juste au dessus des genoux. Elle se coiffa comme tous les jours de deux couettes, ses longs cheveux roux étant rebelles à tout autre type de coiffure.

Se dirigeant vers la cuisine, elle sortit pain, confiture et jus d'orange, se fit une tartine, avala un verre de jus avant de descendre en courant les grands escaliers menant au rez-de-chaussée de la mairie. Elle n'avait pas croisé son père dans l'appartement à l'étage, elle jeta un oeil furtif dans le bureau du maire, mais bien sûr, si tôt le matin, Dazibao ne pouvait pas se trouver là. Le bureau vide ayant confirmé son hypothèse, la gamine sortit sur la place et se dirigea tout droit vers les vergers qui longaient la rivière derrière le village pour retrouver quelques copains.

A seulement 14 ans, la fille du maire était presque totalement indépendante et largement plus mature que les autres enfants de son âge, dû au fait que depuis sa plus tendre enfance, elle avait dû se prendre en charge elle-même et pire, il lui arrivait plus que souvent de s'occuper elle-même des affaires de la mairie lorsque son père n'était pas en état de le faire lui-même.

C'était ce même père qui lui avait donné son nom, Pony, à sa naissance, car sa mère était morte en couche. Pony, mais franchement ! Un jour, il lui avait raconté pourquoi elle portait ce nom : Dazibao adorait les chevaux donc il avait logiquement donné à son bébé, le nom du bébé du cheval ... Pony n'avait jamais osé lui dire que le poney n'était pas le bébé du cheval, elle préférait tout de même s'appeler "Pony" que "Poulain" ! Cependant il lui arrivait souvent de se demander quel prénom elle aurait eu si sa mère avait pu donner son avis avant de mourir.

Cependant sa maturité ne l'empêchait pas d'être taquine et espiègle et elle était connu des habitants du village pour ses farces en tous genres, sans grande méchanceté toutefois.

Lorsqu'elle croisa Lorette, elle la salua de la main en criant, sans pour autant s'arrêter de courir. Elle ne devait pas faire attendre ses amis, l'été ne durerait pas toujours !

Un an avait passé depuis les précédents événements. Jill était arrivée à Thiercelieux il y a quelques semaines seulement. Sa petite fille n'était plus là depuis longtemps. A vrai dire, elle n'avait été que de passage. Depuis, beaucoup de gens avaient trouvé la mort dans des conditions horribles. "L'ancienne" n'avait pas perdu espoir, et espérait toujours pouvoir la retrouver. « Pars pour Thiercelieux, ton destin t’attend là-bas », lui avait-elle dit trois jours avant de la voir partir, sans aucune autre explication.

A cause de ses airs de maudite vieille et folle sorcière, l'aubergiste, trop méfiant, lui avait refusé de ~~l'auberger~~ l'héberger. Elle avait donc pris refuge, en compagnie de sa petite chatte grise nommée Graymalk, dans un vieux taudis abandonné. Dès qu'elle s'y était installée, elle l'avait senti : quelqu'un était mort là-dedans. Et Graymalk de le lui confirmer : "le propriétaire s'est pendu. Il était apparemment mêlé à d'horribles massacres en ce village". A ces mots, Jill avait frissonné, en pensant à sa petite fille : "Clochette, Clochette... es-tu seulement encore en vie ?"

....... Lorette resta quelques instants, sans bouger, devant la mairie. La porte principale et tous les volets étaient fermés, chose inhabituelle pour cette heure de la matinée. Elle fut rassurée quand elle croisa Pony, la fille du maire, sortie en courant de la mairie. Pony lui fit un signe de la main. Lorette eut juste de lui souhaiter la bonne journée que la petite fille avait déjà disparu sur le chemin du verger. Lorette sourit, elle appréciait cette petite fille qui faisait enrager avec ses amis la moitié du village. Lorette repris son chemin, en direction de l’auberge. Elle avait faim et se réservait le plaisir de déjeuner à l’auberge quand elle venait en ville. Devant elle marchait un voyageur et sa charrette. De dos, l’homme paru à Lorette fort bien bâti. *Chevalier ou brigand ? *, se demanda-t-elle. Elle n’eut pas le temps de s’interroger plus longtemps, elle était arrivée devant l’auberge. Elle poussa la porte et pénétra dans l’auberge. Elle salua tout le monde d’un hochement de tête et pris place à une table. En attendant que quelqu’un vienne prendre sa commande, Lorette fit mentalement la liste de ce qu’elle devait acheter. * Alors, des fruits, des légumes, une nouvelle ceinture et des bottes, des fleurs pour le hall, passer chez l’herboriste pour la Mère Harpie..... erf, me manque quelque chose mais quoi ?......*.

Vegoku avait rapidement fit le tour de la ville.
Il retourna vers l'auberge quand un homme passa auprès de lui en le bousculant et essayant rapidement de lui voler quelque chose en un éclair la main de l'homme tomba au sol et il se tordait de douleur en tenant le moignon de sa main.

Tu peux t'estimer heureux d'être toujours en vie...

Vegoku arriva enfin à l'auberge et alla au comptoire commander une chambre pour a semaine ainsi qu'une bière puis il resta la à siroter sa bière...

Un cavalier arriva au grand gallot dans les rues de Thiercelieux. Il fit arrêter son destrier blanc, l’attacha à l’anneau près de l’abreuvoir, il caressa le museau de son cheval qu’il avait nommé « Blanco » et lui parla.

-Repose toi Blanco, je pense que nous allons rester dans se village le temps de se faire oublier de ses folles furieuses, peut être y rencontrerais-je des gens interressant en ce village.

Il décrocha la sacoche que portait son cheval, la prit avec lui puis considéra l’auberge qui se trouvait devant lui, la soif et l’envie de faire de nouvelles rencontres le décidèrent à pénétrer dans l’établissement.

Les rencontres...... Erron était friand de ces événements, surtout si les femmes avaient la cuisse ferme et la bouche accueillante. Il aimait par-dessus tout plaire aux dames. De cette passion lointaine, il en avait fait un art. Il se savait joli garçon, un homme robuste aux cheveux blonds et au regard rêveur. Erron possédait un lourd passif concernant la gente féminine, s’il considérait la séduction comme un art, celles qui s’étaient déjà faites berner de le voyait pas de cet œil. Certaines avaient mis sa tête à prix, dans d’autres contrées du royaume. C’est d’ailleurs après un incident fâcheux de la sorte qu’Erron avait chevauché jusqu’à Thiercelieux.

Nombre de messages : 87 Date d'inscription : 24/02/2007

Ce matin là en ouvrant les yeux Moïra se sentait bien! Le soleil pénétrait a travers les volets et elle savait que c'était une belle journée.
Elle s'étira, se leva et alla se préparer pour aller ouvir l'épicerie familiale dont elle avait la charge pendant le voyage de ses parents.
Ses parents, elle revoie encore la joie de sa mère quand son père lui annonça ce voyage, elle qui n'était jamais sortie d'ici, ils allaient enfin voyager!
Elle se rappella aussi le choc qu'elle avait eu, elle la fière, l'indépendante qui aimait vivre libre, faire ce dont elle avait envie, quand son père lui confia la boutique!
Elle avait fait un léger sourire avait dit oui, mais au fond d'elle cela lui couté de rester enfermer dans l'épicerie à écouter le badinages de ces clients...
Elle ferma la maison et se dirigea vers la rivière elle aimait y aller pour débuter la journée.
Abandonant sa robe pourpre sur la rive, elle pénétra dans l'eau et nagea enchantée.Elle pouvait que jouir de se moment, observant l'eau qui glissait le long de ses bras en filets lumineux. Elle secoua sa longue chevelure rousse pour faire tomber de petites gouttes scintillantes.
Elle se sentait pleine de force comme si cette onde lui avait transmise son énergie.
Une fois séchée, elle revint vers le village.
Tout en marchant a travers les ruelles, elle voyait le village s'éveillait.
Et elle comença a saluer de la tête les gens qu'elle connaissait et a observer du coin de l'oeil les nouveaux arrivants.
En passant devant la mairie, elle trouva bizarre de voir tout fermer a cette heure si, mais elle n'avait pas trop le temps pour ce poser trop de questions, elle était devant la boutique et il fallait ouvrir........

Nombre de messages : 303 Pseudo RR : Juallia Date d'inscription : 02/10/2006

*Une femme, richement vêtue et parée, montée sur une haquenée à la robe de blanche pureté, parut à l'entrée du village. Les quelques cavaliers qui la suivaient, formaient sa garde. Arrivée sur la place centrale, elle héla un villageois tout en descendant de sa monture :*

- Vous, là ! Conduisez moi auprès de votre bourgmestre !
- Mais M'dam'...
- Comment ?! Vous osez me contredire ? Sachez, pauvre ignare, que je suis la Baronne de Caro, terres où est sis votre village !
- C'est pô ca M'dam'... Mais j'sais pô où y est moâ l'mair'. La mairie y sembl' fermée.
- Trouvez-moi le ! C'est un ordre ! Des plaintes me sont parvenues à son encontre et je souhaite le voir au plus tôt !
- Bin M'dam'... C'est comm' vous voulez M'dam'...
- Indiquez-moi également, où se situe l'auberge. Je voudrais me rassasier. J'y attendrais votre bourgmestre.
- Par là, M'dam'... *fit le paysan en indiquant la direction du doigt*
- Très bien... Que faites-vous donc encore là ?! Vous devriez en quête de ce que je vous ai mandé !
- J'y vais d'suit' M'dam'... *L'homme s'éclipsa, priant de pouvoir trouver le maire, tandis que la noble femme entrait dans l'auberge accompagnée du chef de sa garde, après avoir ordonné à l'un de ses hommes de mener sa monture à l'écurie. Elle lança un regard un peu méprisant sur la salle, avant de s'asseoir à la table qui lui semblait la mieux, et de commander à l'aubergiste un repas.*

Nombre de messages : 254 Age : 36 Date d'inscription : 07/10/2006

Comme tous les matins, Tormerth s'était levé tôt. Il avait courru dans la forêt en suivant le chemin qui part au Nord. Quand après deux cent mètres, le chemin tourne légèrement, Tormereth vérifia de ne pas être suivi. Il quitta le chemin et marcha quatre vingt cinq pas vers l'Est. Là, derrière une souche, se trouvait un vieux tas de branches. Il les bougea, et retrouva la lourde trappe. Il la souleva et s'engagea dans les sous-terrains. Après une courte marche dans le noir, il atteignit enfin l'échelle. Il la grimpa sans faire de bruit et se retrouva dans une ancienne pièce du bordel. Lors de la reconstruction de ce batiments, une petite partie du batiment n'avait pas été raccrochée au reste de la maison. Et dans cette ancienne chambre de bonne, qui jouxte la chambrée de Lorette, le mur possédait quelques lacunes qui permettait au garnement de Tormereth d'observer la femme tous les matins.

Ha, mince. Elle est déjà sortie. Bon, que je me dépèche; Moïra va souvent à la rivière au même moment.

Le sale petit emmerdeur refit le chemin inverse, cacha la trappe et détalla vers la rivière. Après s'être rincé l'oeuil (dans la rivière), il revint au village. Il fit une halte pour cueillir des framboises. En revenant au village il croisa Pony. Bien qu'elle soit bien plus agée que lui, les deux jeunes gens s'entendent bien.

Jill avait fini par s'endormir. Elle s'était peu reposée ces derniers temps, qu'elle avait passé à étudier d'anciens grimoires. Elle avait bien mérité un petit somme. Pendant son repos, Graymalk quitta sa maîtresse, et alla prospecter dans le village... Peut-être trouverait-elles de petites choses intéressantes à découvrir aujourd'hui encore ?

A la sortie du village, Pony croise le petit Tormereth. Le village n'étant pas bien grand, il y a peu d'enfants qui ont le même âge et souvent l'on voit des enfants traîner avec des adolescents. Pony l'interpelle :

"Hé, Tormé, tu viens, les autres nous attendent à la lisière du bois, on va chasser l'ours aujourd'hui !"

Sans attendre la réponse du gourmand qui mangeait quelques framboises bien mûres, Pony continue sa route jusqu'à retrouver une bande d'enfants de 6 à 16 ans, qui ont décidé de suivre les traces (imaginaires) d'un ours qui rôde à l'orée du bois depuis quelques jours.

Ces jeux d'enfants sont la seule distraction dans le village, ça et les étrangers qui s'y arrêtent, mais ce n'est rarement plus que pour la journée.

Qui plus est, les plus grands sont souvent réquisitionnés par leurs parents pour aider aux champs ou à la boutique, puisqu'il n'y a pas école, il ne faut pas perdre son temps !

Mais l'heure est à présent à la chasse et la petite troupe d'une dizaine d'enfants se met en route vers la forêt, élaborant maints plans de chasse pour cet ours sauvage.

Le cocher arreta la voiture sur la place du village et annonça:
Thiercelieux, deux minutes d'arret! correspondance pour Lyon dans les prochains jours

Du coche sauta prestement une fillette, avec une peluche de chat dans son sac à dos, trop heureuse de se dégourdir enfin les jambes apres un si long voyage.

Elle était déjà loin quand tomba du toît de la diligence deux grosses valises et que le marchepieds gémissait sous la botte de son chaperon
hé quand est-ce qui passe le coche pour Lyon? Je vais pas attendre des jours dans ce trou de cul de bousseux!
Panique à Thiercelieux 6 Soeurmarietheresem10ek6

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Le coche était déjà repartit pour tenter de rattraper le retard pris à chaque étape où l'on pouvait trouvé du vin.
La soeur (car s'en était une parcourue la place du village des yeux
... L'église et son vin de messe ou l'auberge et sa cave?
Hé Menelwin t'éloigne pas trop je vais prendre des chambres à l~~a cave~~ auberge
Menelwin, qui avait repérer des enfants de son age, plus ou moins, cria sans se retourner
Prenez des chambres au rez de chaussée, ze peux pas vous porter à l'étage après vos saintes libations journalières!
Attend que je t'attrape je vais t'apprendre le respect du à not'seigneur et ses serviteurs
Panique à Thiercelieux 6 Soeurmarietheresem04fg7

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Mais la fillette avait déjà détalée hors de portée de voix
Boudiou, faudrais voir à que je m' tape les valoch' en plus... Allons voir si le tavernier à une cave digne du don divin qu'est la vigne et si il à des bras pour porter ces foutus bagages
La soeur pressa le pas vers l'auberge et ses merveilles issus de la treille ou du houblon, tout aussi divin...

Menelwin s'éloigna en courant, laissant soeur Marie-Thérrese s'occuper de l'intendance...
Elle s'arréta en voyant un groupe d'enfant courir vers la sortie du village en direction de la forêt
Qu'est-ze que tu dis Monsieur Mahou? (s'adresse à sa peluche)
Tu crois qu'ils sont gentils?... on va voir si on peut zouer avec eux!
Menelwin se remit à courir pour rattraper les enfants
Attendez! Vous faite quoi? Ze peux venir avec vous? ze m'appele Menelwin et lui c'est Monsieur Mahou!
Menelwin pivota les épaules pour montrer sa peluche qui dépassait de son sac à dos.

Patsy arriva devant le village de Thercelieux. Voici presque six jours qu'il voyagait vers ce lieux et son périple touchait à sa fin. Il était accompagné de son ane qui s'appelait Nicolas, ce dernier tirait une charette dans laquelle il y avait de nombreux objets qu'il comtait bien vendre sur le marché du village.

Alors mon brave Nicolas, nous voilà arrivé à Thercelieux, moi je suis éreinté et toi?.

L'animal le regarda et Patsy compris que son fidèle ami était épuisé:

Le compte est bon pour toi, ne t'inquiète pas je vais te trouver la meilleur place dans les ecuries de ce village

Après avoir pris une rasade de calva, qu'il avit toujours sur lui,il continua sa route.

Padawann se leva se matin là au bord d'un chemin. Elle avait marché toute la journée esperant arriver a thiercelieux avant la tombé de la nuit mais en vain. prise de crampes et de faim elle s'etait allongé la pour un petit repos. Le soleil qui brillé bien fort ce matin pour la saison lui fit ouvrire les yeux. elle s'appercut en faite que le village n'etait plus très loin. Elle se leva pris ses affaires et alla jusqu'au petit village en esperant trouver une taverne ouverte pour se réchauffer et se restaurer.

là bas je trouverai bien quelques habitants sympatique qui me dirons ou passer ma prochaine nuit

Padawann passa les portes de la ville et se sentie soulagé que le village etait déja bien animé.

Les enfants s'arrêtèrent en entendant la voix d'une gamine qu'ils ne connaissaient pas. Elle leur présenta son chat en peluche et voulu savoir ce qu'ils faisaient. Pony prit la parole, bien que n'étant pourtant pas la plus âgée du groupe :

"Bah si tu veux venir avec nous, c'est toi qui vois, mais je pense que tu devrais rentrer ton chat dans son sac, il risque d'avoir peur ! On part chasser l'ours et ça pourrait être dangereux pour lui ! Moi j'm'appelle Pony. Alors tu viens ou pas ?"

Lorette fut coupée dans ses pensées par l’aubergiste. Elle commanda des œufs, un verre de lait de chèvre, le tout avec des tartines. Lorette aimait ces petits déjeuners à l’auberge où elle avait tout le loisir d’étudier la population masculine de Thiercelieux. Malheureusement ce matin là, peu de gens se trouvaient dans la taverne. Un étranger pénétra dans la taverne, un joli brin de garçon blond. Lorette lui lançait une œillade mais le jeune homme ne sembla pas le remarquer. Peu après, une riche femme fit son entrée. Lorette fut impressionnée par ses riches atours. Sa belle robe et ses belles breloques firent pâlir d’envie Lorette. * C’est décidé, je me trouve un riche à épouser et je me tire d’ici...... erf, plus facile à dire qu’à faire, c’est pas dans ce trou à pécores que je vais trouver mon bonheur*, pensa-t-elle. Lorette secoua la tête, revenant à la raison. Une troisième personne entra, une sœur, visiblement accompagné par toute une bande d’enfants. * Si ces enfants font connaissance avec la bande de Pony, le village risque d’être animé ces prochains jours*, se félicita Lorette. Elle paya l’aubergiste et se rendit à l’épicerie, en réfléchissant toujours à ce qui lui manquait sur sa liste.
Elle pénétra dans l’épicerie du village et fut surprise de trouver Moïra derrière le comptoir.

- Bonjour ma belle. C’est toi qui tiens la boutique aujourd’hui ?

Lorette commença à errer dans les rayons, déposant ses emplettes dans son panier.

Le groupe d'enfant l'ayant apparement entendu s'arréta le temps que Menelwin et Monsieur Mahou les rejoignent. La plus rousse qui s'appelait Pony lui proposa de chasser l'Ours. Mais au loin en entendait soeur Marie-Thérese qui battait le rappel...
Menelwin, crénom diou... où c'que t'es passée... attends qu'j't'attrape
Menelwin pencha la tete en arriere semblant lever les yeux au ciel.
D'accord...Monsieu Mahou!
Menelwin regarda Pony
Monsieur Mahou il dit qu'il veut chasser l'ours aussi... on vient avec vous et on auras pas peur.

Sur le chemin de la taverne Padawann surpris un groupe d'enfant parler de chasse a l'ours... elle regarda un moment puis s'ombra dans ses pensées

ces enfants me font penser a moi meme etant enfant... je voudrais tant retourner a cette epoque.

Nombre de messages : 87 Date d'inscription : 24/02/2007

Moïra installa les denrées fraiches en rayon et regagna son comptoir!
Bouh! pourvu que ses parents ne prolongent pas trop leur voyage! elle dépérissait dans cette boutique, et passait son temps a rêver de liberté, de grandes étendues , de jolis garçons libre comme de l'air qui la ferait voyager l'espace d'un instant!
Elle secoua la tête, non c'était pas possible ici et encore moins coincée dans cette boutique!
Elle vit lorette entrait dans l'épicerie, lorette la seule personne dans ce village rustique qui pour elle sortait de l'ordinaire! Elle était libre comme l'air , le seule différence avec elle , c'est que lorette vivait de ses charmes et que moïra elle, voulait profiter de la vie comme bon lui semble, et faire juste ce qu'elle avait envie et rien de plus!
La seule pour qui moïra avait du respect!

Salut Lorette! ben oui comme tu vois ça va être moi pendant quelques temps! mes parents sont partis en voyage et je me suis retrouvé coincée derrière ce comptoir!
Bon ceci dit je n'ai pas l'intention de passer ma vie dans la boutique et me privé de mes instants de liberté! Le village va devoir se faire avec les nouveaux horraires que j'ai mis en place!
A partir d'aujourd'hui ce sera ouvert que jusqu'au début de l'aprés midi

Moîra regarda lorette dans les rayon tout en pensant a ce qu'elle ferais dans l'aprés- midi..........

Nombre de messages : 147 Date d'inscription : 09/11/2006

Herudur mis sont épées de bois a la ceinture, vérifia que sa bourse de bonbons était bien accroché et s'élanca dehors en courant.

YAAAAAAAAHHHHHH

Il couru en trombe rejoindre les autres qui devaient surement partir a la chasse au ours.

ATTENDEZ MOIIII!!!!

Il les rattrappa et fonca dans tormereth pour le faire tomber. Puis il brandit son épée.

Je suis pret a ostire de l'ours!

Lorette se dirigea vers le comptoir, son panier rempli de provisions pour la mère Harpie.

- Tu sais ma belle, rêver de liberté c’est bien, mais sache que tout se monnaye ici. La liberté n’a jamais rempli un estomac. A trop rêver de liberté, fais bien attention de ne pas finir comme moi. L’épicerie n’est peut être pas un commerce qui te semble très intéressant, seulement ça nourrit honnêtement son homme. Mais garde tes rêves ma belle, pour survivre ici, ça t’aidera, fais moi confiance !

Lorette éclata de rire et dépose ses achats sur le comptoir. Elle rajouté quelques caramels sur sa note, elle les avait promis à Pony.

- Bon alors, combien je te dois ? Au fait, si tu ne fais rien cet après-midi, je comptais aller faire un tour à l’échoppe du tisserand, si ça t’intéresse....

Padawann entra dans la taverne et commenda le petit dejeuné au maitre des lieux. Elle regarde autours d'elle mais ne vit personne. elle se remplie le ventre de ces délicieux petits pain chaud et resta la un bon moment près de la cheminée...

Erron entra dans la taverne, une charmante demoiselle venait de terminer sont petit déjeuné, mais pour le moment, il se devait de se déshaltérer auparavant, la petite course qu'il avait entrepris avant d'arriver içi lui avais quelque peu asèché le gosier.

Au moment ou il s'installa au comptoir, la belle qui était là s'en alla, Erron comptait bien la revoir un peu plus tard, il allait rester dans ce village quelques jours pour ne pas trop se montrer sur les chemins.

Il commanda une grosse chopine de rhum au tavernier, puis demanda où il pourrais éventuellement refaire le plein de provision en prévision de futur départ....Erron se devait de toujours être prêt a déguerpir au plus vite, les évènements pouvaient s'enchainer très vite pour lui parfois.