Panique à Thiercelieux 6

Nombre de messages : 87 Date d'inscription : 24/02/2007

Moïra écouta laurette et sourit

Je suis d'accord avec toi, ce commerce nourrit son homme honnètement , mais ma devise est ni chaines, ni lois! Et pour l'instant je compose entre ici et mon rêve!

Moïra fit le total des courses de lorette :

Cela te fait 9 écus 20 lorette. Et pour cet aprés midi c'est d'accord pour allez faire un tour à l'échoppe du tisserand, j'ai besoin de renouveller quelques effets. Rendez- vous à l'auberge, j'y déjeune tout les midi. D'accord?

Nombre de messages : 254 Age : 36 Date d'inscription : 07/10/2006

Tormereth reçu Herudur en plein dans les côtes. Il fut projeté au sol. Et tandis qu'Herudur parlait avec la bande, Tormereth prit une grosse poignée de boue et l'envoya en plein sur le visage d'Heru!
Bon alors? On va sasser l'ours?

Lorette tendit quelques piécettes à Moïra et se dirigea ver la sortie.

- D’accord, je passe chez l’herboriste.... erf tu le garde pour toi mais la mère Harpie est devenue accro à une herbe qu’elle fait brûler et dont elle respire les fumées. Tu verrais la tête qu’elle a après !!! Bon bref, je passe vite fait chez l’herboriste et je repasse te prendre. A plus tard ma belle !

Pendant qu'il attendait sa chope, Erron en profita pour faire un tour de la pièce avec le regard, une belle femmes était près de la cheminée.

Le tavernier lui parla d'une épicerie dans le village où il pourra refaire ses provisions. Puis sa chope lui fit servit.

-Merci mon brave, tiens tu vois la demoiselles près de la cheminée? Hé bien va lui demander ce qu'elle souhaiteet sert lui, c'est moi qui offre.

Le tavernier alla voir la belle et lui demanda ce qu'elle désirait en stipulant que c'était offert par le jeune homme au comptoir. Erron regardait la scène depuis sa place, il avait le regard charmeur, quand il regardait les femmes.

Nombre de messages : 147 Date d'inscription : 09/11/2006

Herudur se pris la poignée de boue en pleine poire, ce qui ne le fit pas sourire. il sauta alors sur tormereth pour lui faire mordre la poussiere.

Pale sans bleus je vais te faire mordre la poussiere.

Evidement, comme la pluspart des enfant de son age le font toujours quand ils jouent, il avait compeletement oublié qu'il avait toujours sont épée en main.

Graymalk sautait de toit en toit. C'était une chatte assez jeune, et donc très souple et très agile : elle accédait pratiquement partout, et s'amusait à épier les habitants du village. Elle se balladait tranquillement, jetant régulièrement des regards en bas, comme si elle cherchait quelqu'un. Puis, elle apperçu plusieurs enfants, dont deux qui se chamaillaient vraissemblablement. Graymalk fit une pause dans son trajet, se coucha pour les observer et se mit à ronronner, tout en exerçant de petits gestes de la queue.

Lorette se rendit chez l’herboriste dans la ruelle à côté de la place de Thiercelieux. Elle s’attarda quelques instants pour contempler la vitrine. Cet endroit avait toujours fasciné Lorette. Des herbes sèches, des fioles de toutes les couleurs, des substances qui sentaient bizarre.... Lorette adorait cet endroit. L’employé de l’herboriste était plutôt étrange. Elle portait toujours des châles bigarrés et des grands anneaux à ses oreilles. Elle ponctuait ses phrases par des mouvements de tête vers l’arrière et ouvrait grands ses yeux quand quelqu’un s’adressait à elle. Selon Lorette, l’exposition prolongée de cette femme devant ses bassines de décoction était la cause de son étrange comportement.

- Bien le bonjour à vous. Je viens de la part de Madame Ariette qui souhaiterait renouveler son stock d’herbes « pour ses corps aux pieds », demanda Lorette en lui faisant un clin d’œil.
- Oui je m’y attendait, elle en fait une grande consommation ces temps ci, j’en avait mis de côté. On fait comme d’habitude, je mets ça sur sa note ?
- Oui comme d’habitude, et rajoutez votre décoction contre les rides, je n’en ai plus. Mettez ça aussi sur la note de la vieille Harpie, elle me doit bien ça.

L’employé tendit le sachet à Lorette qu’elle dissimula sous les légumes dans son panier.

Il devait être l’heure de déjeuner et Lorette retourna chercher Moïra. Elles se dirigèrent vers l’auberge en échangeant les derniers potins connus du village.

- J’ai aperçu ce matin deux nouveaux voyageurs dans le village. Un sur le chemin qui vient de la forêt, l’autre à l’auberge. Deux très jolis garçons, tu peux me croire ! Sinon j’ai vu que toutes les fenêtres de la mairie étaient toujours closes, j’aurais du demander à Pony si tout aller bien ce matin. Ce fait un moment que je n’ai pas vu le maire. On le voyait passer de temps en temps chez la mère Harpie ..... pour affaire soit disant ..... je crois plutôt qu’elle lui payait des pots de vin pour qu’elle puisse continuer son commerce tranquille..... mais bon, je voudrais pas être mauvaise langue

Lorette continuait de cancaner sur d’autres villageois en s’amusant follement, quand elles arrivèrent à l’auberge. Les deux jeunes filles prirent place à une table. Le voyageur qu’elle avait aperçu ce matin était toujours au comptoir, sirotant une chopine de rhum. Lorette se pencha vers Moïra et lui murmura à l’oreille : - Tiens voilà un des deux gus dont je t’ai parlé ce matin, tu en penses quoi ? -

"Bon les petits, là, ça ira maintenant, vous voulez faire fuir l'ours avant qu'on ait pu le traquer ? A partir de maintenant, plus de bruit ! On va se ranger par ordre de taille, vous êtes d'ac ?

Donc Arthur c'est le plus grand, il va devant. Et vous les petits, vous fermez la marche, attention, vous devez surveiller les arrières de la troupe, donc pas de bruit et soyez attentifs ! Toi, Menelwin, tu te mets juste devant eux, tu es un petit peu plus grande qu'eux, mais dis à Monsieur Mahou de ne pas faire de bruit non plus, hein !

On va tous choisir une arme aussi pour être prêts !"

Joignant le geste à la parole, Pony entreprit de trouver un bout de bois qui ferait office de bâton. L'expédition se mit en place et les enfants, à la queue leu leu, sortirent du village et entrèrent dans la fôret, chuchottant et gloussant de rire et d'excitation à l'idée de la chasse qui commençait. Le plus grand en tête, Pony juste derrière lui et les deux gamins Tormereth et Herudur qui continuaient à se chamailler derrière en tentant de rester silencieux ...

Quand soudain, Arthur s'arrêta brusquement, en levant la main. Pony manqua de lui rentrer dedans mais tous s'arrêtèrent en silence, regardant dans la direction de leur aîné. Celui ci chuchotta pour les autres :

"J'ai trouvé une empreinte, il est passé par là il y a moins d'une heure !"

Il désignait un espèce de buissons tordu, qui ne laissait pas du tout penser qu'un animal ait pu lui marcher dessus, mais sa forme et le fait qu'il était rabougri étaient amplement suffisant pour l'illusion enfantine. Léchant son doigt, il le mit au vent et continua :

"Bon, il n'y a pas de vent, il ne nous sentira pas arriver, on va se séparer en deux groupes pour l'encercler ! Qui vient avec moi ?"

Pony bondit, oubliant de ne pas effrayer l'ours :

"Moi ! Je viens avec toi et Menelwin peut venir avec nous, comme ça Herudur, Tormereth et Petit Pierre iront de l'autre côté, d'ac ?"

Les groupes se formèrent et la traque commença.

Intriguée par leur petit jeu, Graymalk descendit du toit, en bondissant au préalable sur une table. Elle trotta vers les enfants, et en accompagna quelques uns dans leurs aventures, amusée...

Nombre de messages : 87 Date d'inscription : 24/02/2007

Moïra vit arriver lorette et su que l'heure de fermer l'épicerie était arrivé.
Tout en papotant des derniers cancans elles arrivèrent a l'auberge pour déjeuner.
Assisse a table elle jeta un coup d'oeil au nouvel arrivant assis au comptoir derrière sa chope de rhum!
Moïra sourit!

Ben il est vraiment différent des gens du coin, blond comme les blès et l'oeil malicieux qui frisse,je pense que tu vas pas tarder a avoir une petite visite chez la mère Arriette!

Moïra continuait à observer du coin de l'oeil l'étranger.

Tu sais lorette je crois que pour le meire il doit se passer quelque chose, la mairie est rester fermée toute la matinée je trouve cela bizarre aussi.

L'aubergiste s'approcha et moïra commanda un déjeuner pour deux.

Azraël avait complètement loupé l'heure du déjeuner, plongé dans ses croquis. Son ventre le rapella à l'ordre.

Bon je vais me restaurer et aprés je m'attaque à rendre ce croquis réalité.

Il ota sa blouse et quitta son atelier.

C'était un homme plutôt grand et maigre, les cheveux en bataille, le teint blanc comme la farine à force de passer des journées entière à bricoler dans son atelier.

N'aimant pas trop le bruit et la foule il préféra aller à l'épicerie plutôt qu'à la taverne.

Il salua timidement moïra en entrant et se faufila dans les rayons à la recherche de son déjeuner. Il revint avec des champignons et des oeufs dans son panier, de quoi se faire une bele omelette.

Il quitta l'épicerie aprés avoir donné l'apoint à moïra et rentra chez lui pour finir ce qu'il avait commencé. En cherchant la clé de son atelier sur son trousseau, il constata que les petits garnements avaient encore gribouillé sur ses murs.

Si j'en attrappe un sur le fait un jour, il aura droit de tester en avant première ma nouvelle invention !

Il rentra chez lui et se prépara l'omelette.

Erron remarqua deux belle dames entrées dans la taverne, dont celle qu'il avait vu quand il était arrivé. Il se leva, emporta sa chope, puis alla les rejoindre a leur table, mais resta debout.

-Enchanté Mesdemoiselles, ou Mesdames peut etre? Je me présente Erron pour vous servir, tout d'abord, puis-je vous offrir quelque chose a boire? Commandez, c'est moi qui offre.

Il fit signe au tavernier de venir prendre la commande et lui prépara une petite bourse de ièce pour payé ses divers commandes.

Nombre de messages : 87 Date d'inscription : 24/02/2007

Moïra vit l'homme blond s'avancer vers elle sa chope a la main, il e dirigea droit vers leur table puis leur proposa a boire.
Elle sourit et se dit qu'au moins il n'avait pas froid aux yeux! A peine arriver il cherchait déjà des contacts dans le village.
Elle échangea un clin d'oeil avec lorette et se retourna vers l'étranger :

Nous acceptons volontier votre offre! une pinte de bierre fera bien effet avec le déjeuner. Voulez vous vous joindre a nous?

Lorette attaquait sa salade quand le voyageur blond vint se présenter à leur table. Il leur proposa un verre et Morïa répondu rapidement sans que Lorette n’ai eu le temps d’en placer une. Elle pensa que Moïra avait été bien prompte à répondre et que ses yeux brillaient déjà. Elle en fut amusé et s’adressa au voyageur

- Et bien Erron, bienvenu dans notre modeste village. Nous sommes curieuses de savoir ce que vous êtes venu faire chez nous. Racontez nous tout !!!

Erron ce senti fort bien acceuilli par les dames qui étaient attablées, deux jolies rousses qui plus est, chose qui n'était que peu courant dans ce pays. Moïra l'invita a s'assoir a leur table, chose qu'il accepta volontier.

-Merci beaucoup de votre invitation a me joindre a vous, puis se tournant vers Lorette, et vous, vous ne prenez rien a boire?

Le tavernier s'approcha et prit la commande, Lorette posa une question concernant sa présence en ce village.

-Merci de votre acceuille chaleureux, la raison de ma présence n'a que peu d'importance, je suis quelqu'un avide de liberté, je voyage avec "Blanco" pour découvrir de nouvelles contrées et de nouvelles personnes.

Lorette écoutait l’étranger tout en observant Moïra. Si cet homme avait de bonnes manières et le regard plutôt charmeur, Lorette s’inquiétait un peu pour Moïra. Il était trop beau pour être honnête cet homme. Lorette chasse ses pensées de son esprit, ne voulant pas juger le voyageur trop tôt, et se leva :

- Bon c’est pas le tout, je dois vous laisser. Je devais passer chez le tisserand mais il est trop tard désormais. Je dois récupérer Hérudur qui doit encore traîner avec Pony, je lui ai promis des crêpes pour le goûter. Je te laisse en bonne compagnie Moïra, à bientôt. Quant à vous Messire, j’espère que vous allez rester un petit peu par chez nous et vous revoir prochainement.

Lorette mis sa cape, pris son panier et sortit de l’auberge. Elle jeta un coup d’œil vers la mairie ...... toujours fermée. Elle se rendit en direction du verger, où les enfants avaient l’habitude de jouer. Elle n’aperçu personne mais tous ces garnements avaient l’habitude de se cacher. Lorette attendit quelques instants et se décida à appeler.

- Hérudur ! Hoooooooooooeeeeeeeeeeyyyyyyyyyyyyy ! Vous êtes là les enfants ?

Nombre de messages : 303 Pseudo RR : Juallia Date d'inscription : 02/10/2006

*Les heures s'écoulaient et la baronne s'impatientait. Elle s'était rassasiée depuis longtemps, et tuait le temps en regardant les clients défiler. Soudain, elle se leva et s'adressa à son chef de la garde :*
- Pareille activité n'est pas digne de femme de ma condition ! Que fait ce paysan ?! Et le bourgmestre ?! Aurait il été informé de ma venue et se cacherait-il ? Nous allons à la mairie !
*Elle sortit, suivie de son serviteur, en direction de la mairie, passablement énervée*

Nombre de messages : 254 Age : 36 Date d'inscription : 07/10/2006

Tormereth n'aime pas quand Poly prend ses airs de chef. Elle s'arrange toujours pour partir avec Arthur et laisser ainsi Tormereth et Herudur avec Petit Pierre, qui n'arrête pas de flatuler et de manger ses crottes de nez! De toute façon, Tormereth sait pourquoi Poly les laisse toujours:

Poly plus Arthur égal coeur
Poly plus Arthur égal coeur
Poly plus Arthur égal coeur
...

Herudur reprit en coeur la chansonnette. Petit Pierre, trop stupide pour comprendre quoi que ce soit, ruminait ses crottes de nez dans son coin.

Vegoku entre-temps monta dans sa chambre et y déposa ses affaires il retira sa cape et redescendit tout juste armé d'un katana il sortit de l'auberge et partit à la recherche de la gente féminine du village.

Il alla au centre du village et s'assit au bord de la fontaine en se disant que ça devait etre un point de passage important de la ville.

Nombre de messages : 87 Date d'inscription : 24/02/2007

Moïra écouta le discours d'erron et vit lorette se levait pour partir. Zut pensa t'elle le temps passe si vite! Nous n'avons pas pu aller chez le tisserand pourtant j'aurais bien fait des emplètes moi! Bon demain sera un autre jour!
En tout cas maintenant , elle était assisse là avec un parfait inconnu et elle commencait a sentir ses peids fourmillaient, elle était restee beaucoup trop longtemps assisse, il fallait qu'elle bouge!

Vous m'avait dit que vous possédez un cheval!, Blanco c'est ça! Et vous vous déplacez avec votre ami de ville en ville? Je dois avouer qu'on doit ressentir un sentiment d'immence liberté a chevauché un étalon! en quelque sorte vous êtes libre, vous allez de ville en ville là ou votre envie vous porte, vous êtes un peu comme moi en sommes!
Sauf que pour l'instant je suis l'épicière de ce village en attendant le retour de mes parents!
Vous comptez- rester combien de temps dans notre ville?

La journée était bien avancée, l'après midi même tirait presque à sa fin lorsque reparut le petit groupe d'enfants sortant des bois, riant et se charriant les uns les autres. Ils étaient fiers d'eux, ils avaient vaillamment combattus les viles fougères qui voulaient les empêcher d'avancer, ils avaient réussi à faire fuir une horde de deux écureuils sauvages et enragés et ils avaient tous cassé leurs bâtons à force de taper sur l'ours qui se cachait derrière les troncs d'arbres (oué, ils avaient tapé directement sur les troncs d'arbre, y avait jamais eu d'ours dans ce coin, mais bon, cherchez pas, ce sont des gosses !)

Tormereth et Herudur recommençaient à charrier Pony au sujet d'Arthur, ce qui l'agaçait au plus haut point. Elle détestait les garçons, ces deux-là racontaient vraiment n'importe quoi !

Mais l'heure était venue pour la plupart de se séparer et Pony devait s'assurer que son père était finalement rentré ou au moins vérifier dans quel coin il était resté. Après avoir lancé une dernière remarque cinglante à Herudur concernant son épée cassée (ou était-ce celle de Tormereth ? Peu importait à présent), elle salua la bande et fila en direction de la mairie.

Arrivée à la grande porte, elle vit une femme habillée richement, l'air méprisant, le nez en l'air comme si elle essayait d'éviter les odeurs trainant dans le coin, suivit par un homme qui semblait aux petits soins pour elle, s'approcher de la mairie. Elle resta un moment interdite, regardant cette femme parée de tous ces bijoux et cette robe si élégante qu'elle en avait la bouche béante. Elle la fixa pendant quelques minutes du haut des marches menant à l'intérieur du bâtiment, le temps que celle-ci l'apostrophe, lui faisant remarquer son manque de dignité et de politesse.

"Euh pardonnez-moi m'dame, soyez la bienvenue à Thiercelieux, que puis-je faire pour vous aider ?"

La bourgeoise lui fit savoir d'un ton sec qu'elle cherchait après le bourgmestre (le kwâ ?) depuis le début de la journée et elle semblait à présent particulièrement irritée d'avoir perdu son temps en vain ...

"Euh excusez-moi, madame, je vais aller voir si je le trouve, je vous prie de bien vouloir me suivre, je vais vous faire patienter dans le bureau de Monsieur le maire le temps de le retrouver, il doit vaquer à quelque affaire du village, hein ... Voudriez-vous boire quelque chose pour vous désaltérer en attendant ?"

Pony espérait avoir fait assez de courbettes et utilisé assez de mots "nobles" dans ses propos pour satisfaire la dame au moins le temps qu'elle retrouve son sacré père ou une idée pour ne pas avoir à le lui présenter ...

Nombre de messages : 173 Date d'inscription : 11/01/2007

Johane, en pleine forme, avait ramassé quelques champignons dans la forêt. Elle se dirigea vers l'auberge pour les proposer à tavernière.

La nuit commençait à tomber dans le ciel de Thiercelieux, Azraël avait passé l'aprés midi à bricoler, ça commençait à prendre forme, un clou par ci, un clou pas là, quelques retourches et voilà son invention finie.

Enfin fini ! va falloir que je fasse des essais...

L'homme commence à fouiller dans son atelier à la recherche de quelque chose de précis, difficile de trouver quoique ce soit dans ce bazar.

Une peluche ! il me faut une peluche ! Doit bien avoir un de ces satanés gamins qui en a une.

Azraël jette sa blouse sur son porte mateau et sort en claquant la porte de chez lui. Il se dirige vers la place d'un pas décidé, arrivé là bas, personne... il y a de la lumière à la taverne, Azraël hésite il s'était promis d'entrer dans ce batiment qu'en cas d'extrème urgence, mais là il s'agissait d'un cas de force majeure, il se presenta devant la porte, pris une grosse bouffée d'air et se décida à entrer. Il se dirigea directement au comptoir sans même jetter un oeil à la salle et s'adressa au tavernier.

Tavernier ! aurais tu un lapin vivant ou mort ? je le veux entier surtout.

J'vais voir ça, attendez une minute.

Attendre... dans ce lieu qu'il détestait...

Il s'accouda au comptoir, scrutant discretement les personnes présentes en attendant son lapin.

Après avoir passé la journée à suivre les enfants, Graymalk passa aux environs de la taverne. C'est là qu'elle le vit : enfin... Mais que faisait-il par là ?

La porte s'étant refermée devant elle, elle fit le tour du bâtiment, sauta sur un petit rebord, longea une poutre sur quelques mètres, et arriva à une fenêtre entre-ouverte. D'un petit bond plein de souplesse, elle entra enfin dans la taverne. Descendant quelques escaliers, et arriva aux côtés d'Azraël. Elle se frotta à lui, et se mit à ronronner. Elle s'était prise d'affection pour cet homme, qui, d'une certaine manière, lui rappelait un peu sa maîtresse. Puis, elle sauta délicatement sur un tabouret, et se mit à lui lécher la main. La fatigue commençait à venir, et elle n'était pas contre quelques caresses au creux de son bras.

Nombre de messages : 21 Date d'inscription : 01/03/2007

Paine arriva avec le juste necessaire dans le village de Thiercelieux, les lourds bagages n'étaient pas pour elle.
Elle ne sazvait ou se rendre elle se sentait toujours assez perdue dans les endroits nouveau.
Elle avait quitté son ancien village il y avait de ça 5 jours. Durant ces longs jours elle avait dormi par terre, parfois dans les bois et parfois au bord des chemins.
Elle savait que la première chose qu'elle ferait en arrivant a Thiercelieux serait de manger un repas et de commander une chambre.
Tout en s'enfonçant dans le village, elle vit une petite auberge qui ui sembla bien sympathique, elle y commanda un repas gargantuesque et monta vite se reposer.