Panique à Thiercelieux 3

Organisateur Nombre de messages : 937 Age : 45 Date d'inscription : 30/09/2006

Le soleil se levait sur le paisible village de Thiercelieux.

Dazibao, le maire du village, sortait de chez lui. Sa canne à pêche sur l'épaule et une musette à la main, il se dirigeait vers la Thierce, la rivière en contre-bas du village.
Son ami le rejoindrait sûrement dans quelques heures... quand il serait enfin sortit de son lit.

Vraiment il faisait bon vivre à Thiercelieux !

Nombre de messages : 11 Date d'inscription : 16/11/2006

Loifcp sortit de chez lui au chant du coq il alla dans son potager et commença à ramasser ses légumes quand il vit Dazibao passé il pensa que celui-ci allait sans doute péché vu qu'il avait une canne à pêche après avoir ramassé tous ses légumes Loifcp s'allongea dans le potager et se rendormit

Végoku s'était levé d'assez bonne heure réveillé par un maudit coq il décida donc d'aller se rafraichir à la taverne mas en voyant que le soleil venait de se lever il décida d'aller faire un tour dans son champs de blé il commença par vérifier qu'il n'y avait pas eu de dégât dût à la pluie de la nuit dernière il ne vit rien sauf un poulet sauvagement attaqué et son corps était en lambeau il ne s'inquiéta pas et pensa à un quelconques renard et alla jeter le corps dans la foret.Quand il revint il vit que son voisin Loifcp était endormit dans son potager.Végoku se demanda pourquoi dormir dans un potager alors que sa maison et à coté? Puis Végoku entra chez lui et alla se recoucher.

Nombre de messages : 254 Age : 36 Date d'inscription : 07/10/2006

Tormereth fait partie de ces guérriers que rien ne peut effrayer. Il était arrivé très tard la veille et avait dû trouver quelques repos dans l'auberge. Voulant continuer son périple, il décida de se lever tôt. Il paya son dû à l'aubergiste et sortit de l'auberge. L'air était frais, et la pluie se faisait attendre. "Maudit mois de novembre" pensa-t-il. Il partit avec son baluchon par les petits sentiers de la forêt. Sa quête doit rester secrète, il en va de sa propre survie. Les chemins étaient boueux, mais cela ne le ralentit pas. Il marcha pendant un bon moment, puis décida de s'arrêter quelques temps. Il trouva une jolie clairière, et s'installa sur un rondin de bois. "C'est l'endroit idéal pour une embuscade" pensa-t-il, lorsqu'il sentit un poignard dans le bas de son dos. D'un geste vif, il attrapa le bras de son agresseur, pris son poignards et lui trancha la gorge. Il sortit immédiatement son épée, et pris son bouclier. Cinq hommes armés firent irruption dans la clairière. Tomereth ne tremblait pas. Il avait l'habitude des combats. Il était lui-même partit en croisade avec nostre bon Roy. Tormereth couru vers l'homme le plus à l'écart. Il évita la lame de celui-ci, vi volte-face et lui enfonça sa lame dans le foie. Les quatres autres fondèrent sur lui. Il parra les premiers coups et tua deux de ses adversaires. Les deux derniers étaient plus coriaces. Le combat durait depuis un moment. Tormereth réussit à trancher la jambe de l'un de ses agreseurs. Celui-ci s'éffondra. Tormereth s'avança vers le dernier des combatants. Celui-ci prit peur et s'enfuit. Tormereth respira profondément lorsqu'il sentit une vive douleur dans sa jambe gauche. Il se retourna et vit le vagabond qu'il avait estropié. Tormereth se retourna rapidement en mis fin à la vie de cet homme en le décapitant. Tormereth ne pouvait plus continuer sa route. Il décida de revenir dans le village où il avait passé la nuit.

Le soleil traversa le fenêtre de la demeure de Azraël et vint lui caresser le visage de sa douce chaleur, L'homme s'étira longuement, lorsque le cri d'un coq lui siffla dans les tympans, ce fichu animal avait pour habitude de se mettre sous la fênetre d'Azraël pour "chanter"... Azraël était un homme de taille moyenne, pas trés épais, Il avait les yeux marrons, les cheveux chatins et une légère barbe, il bondit du lit, saisit une de ses chaussures, ajusta le coq et lança le soulier de toutes ses forces, le coq n'eut pas le temps de comprendre ce qui lui arrivait, la chaussure avait touché son flanc, il s'enfuiya dans un déluge de plumes.

Et ne revient plus me casser les oreilles ! lanca t'il satisfait d'avoir fait fuir l'animal.

Azraël pris une douche et s'habilla, le temps était parfait pour une petite ballade, il s'approcha de sa bibliothèque et pris un livre qu'il mis dans sa besace. Un fois dehors il s'avança vers la place et se posa prés de la fontaine, il sorti son livre et commença à le lire, il se sentait bien là à écouter l'eau de la fontaine qui coulait paisiblement.

Menelwin n'avait comme d'habitude dormit qu'une poignée d'heures, ha viellesse et poids des ans.
Cela faisait maintenant plusieur heure qu'elle attendait le chant du coq, signe pour elle du lever du jour et de l'ouverture de sa porte.
Menelwin accrochait soigneusement ses volets quand elle vit Dazibao passer équiper de son
matériel de peche.

Sacré faignant, que c'est y pas!!! c'est pas son pere qu'aurait été à la pèche et négliger
son poste à la mairie!!

Puis elle alla se faire une tissane et resortit avec une tasse pleine et s'installa sur le petit
banc de pierre apposé à la façade de sa maison, laissant dériver son regard sur la place du village.

Nombre de messages : 93 Age : 38 Date d'inscription : 03/10/2006

Roxxon, simple et jeune bergère de Thiercellieux sortit de chez elle de bon matin afin d'aller voir ses moutons. Elle marcha par delà les collines et les retrouva en forme, grignotant l'herbe grasse.

Elle farfouilla dans sa besace et en sortit sa jolie flûte en bois de chêne. Elle commença de jouer un air entraînant. Comme d'habitude, les gentils moutons relevèrent la tête puis se mirent à bêler en coeur comme s'ils voulaient l'accompagner.

Après s'être détendue en jouan quelques temps, Roxxon prît son petit déjeuné (lard, pain et oeuf dur). Enfin, elle s'endormit dans l'herbe verte, adossé contre le tronc d'un Peuplier au milieu des moutons.

Le livre d'Azraël était sans fin et ce calme commençait à le perturber, il n'y avait personne sur la place, visiblement ses voisins n'étaient pas des gens du matin.

Le bouquin devenait vraiment nul, l'auteur était parti dans un drôle de délire, Azraël ferma le livre au moment où le personnage principal allait... (vous ne saurez pas car le livre est fermé désormais ! ), il se leva alors pour se dégourdir les jambes.

Il aperçu au loin une dame assise sur un banc, s'approchant de plus prés pour la saluer il reconnu Menelwin, la doyenne du village, une tasse à la main.

Bonjour Menelwin comment allez vous aujourd'hui ? Vous êtes bien matinale, avez vous croisée du monde ce matin ?

Nombre de messages : 254 Age : 36 Date d'inscription : 07/10/2006

Tormereth mit beaucoup plus de temps pour rentrer au village. Il avait prit soin de penser sa blessure, si bien, qu'il avait toujours aussi fière allure. Il entra dans le village et croisa une petite vieille qui le dévisageait. Il ne tourna même pas la tête pour la regarder. Il rentra immédiatement dans la taverne et commanda une demi-douzaine de chopes! De telles mésaventures devaient être fortement épanchées!

Organisateur Nombre de messages : 937 Age : 45 Date d'inscription : 30/09/2006

Le soleil était déjà bien haut dans le ciel lorsque Dazibao revint de la rivière.
Il salua Menelwyn en traversant la place... Elle finira par creuser la pierre du banc, dit-il à voix basse en lui souriant.
Il entra dans la taverne.

Hola tavernier !
Parcourant la salle du regard, il aperçut un homme au visage dur, drôlement bien armé.

Bonjour l'ami ! Je suis Dazibao, le maire de Thiercelieux.
Êtes-vous de passage ou bien restez-vous quelques jours dans notre beau et paisible village ?

L'inconnu allait répondre lorsque le tavernier sortit en grognant de la cuisine. Dazibao leva les yeux au plafond et montra sa besace pleine à l'aubergiste. Ils échangèrent quelques mots, puis le maire donna sa besace au tavernier. Ce dernier donna une petite bourse au maire, ainsi qu'une chope bien remplie.
Dazibao vint alors s'asseoir avec l'homme d'armes.

Veuillez excuser l'interruption. Les affaires sont les affaires. Si vous êtes amateur de poissons, ceux que je viens de sortir de la Thierce ont l'air savoureux.
Après une courte pause et une gorgée de bière, il reprit :
Je vous demandais si vous éties de passage ou de halte, Messire............. ?

Menelwin regarda Azrael s'approcher et la saluer.

Bonjour jeune homme. Moins bien qu'hier, ça c'est sur! Mon dos me fait souffrir, je crois bien que mes varices ont encore grossi sur ma jambe gauche.
Menelwin remonta un peu sa jupe et tendis son mollet gauche afin qu'Azrael pu voir les grosses veines violettes qui déformait sa peau fine et presque parcheminée.
Et mes doigt sont raides et douloureux la chaleur de cette tissane arrive à peine à soulager ma souffrance.
Et je suis toujours matinale, comme tout les personnes d'un certaine age je dors tres peu... Ce qui me laisse bien du temps pour pleurer mon Edmond.
Du monde? Comme vous y aller les jeunes, aujourd'hui se levent çà pas d'heure. De mon temps c'était pas comme ça! On se levait tôt, on puisait l'eau pour toute la maison et toute la journée.
Je me rapelle, j'avais dejà jusqu'à six aller et retour jusqu'au puit au milieu la place avec mes deux seaux, avant que le coq ne chante. Et apres il fallait ranimer le feu, préparer la table et le petit déjeuner.
Puis il fallait lecer les plus jeunes et les aider à la toilette et prendre le petit déjeuner tout en les aidants. C'est que j'étais l'ainée et des six ans il à fallut que j'aide, penser donc avec sept frères et soeurs.
Et , encore je ne compte pas mes deux soeur qui sont morte de dysenterie avant leur un an; ni m'ont frere qui n'à vécut qu'une journée et qui est mort subitement sans qu'on sache de quoi...
Et toutes la journée j'aidais à la maison, moi, jeune homme! C'est pas comme les jeunes d'aujourd'hui rien que de se lever ça les fatigue.

Menelwin s'interrompit pour faire un sourire crispé à Dazibao.
Tenez jeune homme, c'est comme celui-ci qui nous sert de maire... Un faignant qui passe le plus clair de son temps, à brasser du vent!
Et ça suffit pour qu'il croit avoir fait des effort et se croire tout plein sueur. L'a jammais connus la sueur même quand il était petit...
ho je pourrais vous en raconter des bétises sur ce garnement quand il portait encore des culottes courte...

Menelwin se leva avec difficulté en s'appuyant sur une canne.
Excusé moi mais ma tissane est froide.

Et elle se rentra dans sa petite maison, en pensant qu'en attendant suffisament Azrael partirait et qu'elle pourrait retourner sur son banc.
Quel toupet l'appeler directement par son prénom, comme si il se connaissait! Comme si il était du meme monde!

Vous êtes bien matinale gna-gna-gna et comment allez vous gna -gna-gna; ha vraiment les jeunes aujourd'hui!!!
il veut se donner des aires d'intelectuel, de grand penseur ou de poete à lire ces livres sur le rebord de la fontaine, alors qu'elle ne l'avait jammais vu en terminer un seul...
Sait-il lire seulement? se dit Menelwin en se reservant une tasse de tissane.

Nombre de messages : 147 Date d'inscription : 09/11/2006

Herudur se réveilla avec peine ce matin, la soirée de hier avait été bien arrosée et son cerveau cognait dur dans sa tete.
Il resta allongé pendant de nombreuses minutes, le temps pour lui de trouver le courage de se lever.

Il dédaigna la miche de pain qui trainait dans une armoire, ce matin il n'avait pas d'apétit. Il attrappa le seaux qui trainait pres de la porte et sortit. L'éclat du soleil lui brula les yeux, il plissa le front et se dirigea vers la fontaine du village en tentant d'ignorer les impulsions de douleur qui répondait au batement de son coeur.

En arrivant sur la place, il vit au loin Azrael qui discutait avec Menelwin, il préféra les ignorer pour le moment, trop fatigué, et se dirigea vers la fontaine. Il remplit sont seaux, attrappa le bol qui était resté dedans et commenca a boire de longue gorgée d'eau, son mal de tete se calmait peu a peu.

Azraël avait écouté la vieille se plaindre un quart d'heure durant, il avait une grosse envie de se faire écraser par une charette à ce moment précis, il restait là par politesse... Il fut soulagé d'entendre Menelwin dire qu'elle rentrait se refaire une tisane, fini la morale ! il avait bien cru que ça n'aurait jamais de fin, comme ses livres.

Il préféra rentrer chez lui, il avait l'estomac dans les talons et n'aurait voulu pour rien au monde que la mémé lui tienne à nouveau un discours sur son époque.
Il poussa la porte de son domicile et se dirigea vers la cuisine, il sorti du placard une belle miche de pain et mit à boullir des patates.

Organisateur Nombre de messages : 937 Age : 45 Date d'inscription : 30/09/2006

Alors qu'il attendait patiemment la réponse de l'homme armé, qui n'allait pas tarder à venir, un nouveau grognement en provenance de la cuisine fit rentrer la tête de Dazibao entre ses épaules.

Mais c'est pas possible ! Il le fait exprès ?.... Veuillez m'excuser Messire.

Dazibao se leva passablement excédé et se dirigea droit en cuisine. Quelques bribes de conversation jaillirent intempestivement, ou plutôt quelques exclamations ; quelqu'un était sencé arriver bientôt au village.

Dazibao sortit de la cuisine, traversa la salle commune et sortit de la taverne sans même saluer le guerrier. Il se rendit directement à la mairie.

Nombre de messages : 254 Age : 36 Date d'inscription : 07/10/2006

Tormereth passa des heures à la taverne. Sa blessure le faisait souffrir et il commençait à ne plus distinguer grand chose. Un vieil homme s'était assis près de lui et lui posa toute sorte de question.

Je..Normalement, je ne reste pas, mais...j'ai...besoin de repos.

Les mots lui venaient difficilement. Si bien qu'il décida de sortir s'allonger contre un arbre dans la fraicheur de l'automne. Il croisa un homme, l'air agard. Il puisait de l'eau. Tormereth ne le salua même pas tellement que l'homme avait l'air en dehors de lui. Tormereth ne remarqua même pas que le soleil avait fait son apparition. Il trouva un vieux chêne et s'allongea pour soulager sa jambe. Une petite sieste ne lui ferait pas de mal

Menelwin attendis une dizaine de minutes et ressortis avec une nouvelle tissane et se rassit sur son banc.
Il est parti sans meme dire au revoir, quelle impolitesse ont ces jeunes gens quand même!!!
Menelwin pensait qu'il faudrait s'occuper de ses rosiers quand elle aperçu Herudur se diriger d'un pas encore incertain vers la fontaine.
Hé voilà qu'est-ce que je disais à peine lever et déjà fatigué...

Nombre de messages : 147 Date d'inscription : 09/11/2006

Herudur resta quelque temps pres de la fontaine. Enfin, il retrouva ses esprits et rentrat chez lui en maugréant.

-Mechant Syhanis, c'est lui qui m'a fait boire, et maintenant j'ai tres mal a la tete et j'ai envie de vomir!

-Je t'ai proposé de boire un peu, je ne t'ai pas demandé de vider toute une cruche en un coup.

-Tu ne m'as pas arretté alors que tu savait tres bien que j'aurais tres mal le lendemain. Tu es méchant avec moi.

-Arrette de geindre, si tu m'écoutais un peu plus souvent tu n'en serais pas là. Et range la maison maintenant, c'est un vrai bazard on ne s'y retrouve plus!

-Non! Ajourd'hui j'ai envie d'attrapper des oeufs de grenouilles!

-Mais qu'est ce que tu vas faire avec des oeufs de grenouilles?!

-J'aime bien les faire éclater entre mes doigts.

-C'est completement stupide, range moi cette maison! et va acheter a manger, on a plus rien!

-Non, tu n'as pas a me donner d'ordre, je fais ce que je veux! Et maintenant sors de ma tete!

Sur ce, Herudur allat à la rivière. Il rechercha un point d'eau on l'eau était plus calme. Il apercu un trou dans la berge ou le courant était quasi inexistant. Des canards nagaient tranquilement. Herudur leur lanca des cailloux

-Partez de la vilains canards, vous ne me capturerez pas cette fois ci! Allez dire à votre roi que je ne le crains pas!
Oh, on dirais qu'il y'a des oeufs de grenouille là!

Il s'avanca sur les pierres glissantes de la berge et se vautra maladroitement dans l'eau.

-RAAAAH ZUT, je suis tout mouillé maintenant.

-C'est malin ca! Avec tes bétises ca devait finir par arriver! Il faut rentrer maintenant!

-Non! J'ai pas envie, raconte moi une histoire plutot.

-Il faut rentrer, ou sinon tu vas attrapper froid! Tu auras une histoire a la maison!

-Rooooh bon d'accord.

Herudur rentra chez lui en claquant des dents. Il ota ses vetements mouillé et en mis des neufs.

-Bien, maintenant mange un peu de pain.

-Non je veux pas, le pain est tout sec, et c'est pas bon. Raconte moi une histoire!

-Mange d'abord!

Il se forca a manger un pain sec et rassi depuis longtemps

-C'est pas bon!

-C'est de ta faute, a force de tout laisser trainer et de ne pas vouloir faire des courses, ca t'apprendra.

-Les gens me regarde bizzarement! raconte moi une histoire!

-Bien, allonge toi, laquelle veux tu? celle defs 3 défis du diable?

-Non. Celle ou un homme il vend son ame a un démon!

-Bien, alors c'est l'histoire d'un forgeron qui est tres pauvre.....

Herudur s'endormit paisiblement au son de la "voix", l'apres midi était a peine entamé mais il était fatigué, une petite sieste ne lui ferai pas de tort.

Nombre de messages : 254 Age : 36 Date d'inscription : 07/10/2006

Tormereth se réveilla brusquement. Une pomme venait de s'écraser, que dis-je, de s'exploser sur sa tête (bah oui, une pomme qui reste accrochée à un arbre jusque fin novembre, elle est pourrie). Heureusement qu'il avait gardé son casque pour dormir, sinon il en auait plein la tête. Il réflechit un instant et se demanda à cause de quoi la pomme était tombée. Une formule, la plus importante de notre ère allait venir à son esprit lorsqu'il vit un lapin, non loin de lui. Il ne continua pas ses calculs. Il prit son arc, ajusta sa flèche, et tua le lapin en un coup. Juste le temps d'allumer un feu, et Tormereth allait manger à sa faim. L'Histoire ne retiendra pas son nom!

Nombre de messages : 344 Date d'inscription : 05/10/2006

Kara était partie en promenade la veille, mais était tombé dans un fossé... heureusement, elle ne s'était rien cassé... mais la remontée avait été épuisante, et elle avait préféré se reposer sur place...

Elle rentra au village... couverte d'égratignures...

Elle passa par chez elle pour prendre quelques vetements, puis alla se nettoyer à la riviere...

Agrael, était arrivé il y a quelques temps à Thiercelieux, et avait loué une chambre à la taverne, il sortait peu mais connaissais pourtant ien les villageois, il avait même fait une liste avec les noms et descriptions de chacuns d'eux. Il avait troqué ses riches habits, contre udes habits plus simple, pour ne pas se faire remarqués. Aujoud'hui avait passé la journée à étudiez un document d'aspect offcielle. Quand on toqua à sa porte.

Entrez.

Un homme vêtu en miséreux entra et referma soignesement la porte.

Enfin, Garn, je t'attend depuis l'aube alors est ce que quelqu'un est entré à Thiercelieux aujourd'hui?

L'homme ne répondit pas, il se contenta juste de regarder à travers la fenêtre qui donnait sur la place de Thiercelieux.

Mais, enfin va tu me répondre, dois je te rapeller que je te paye pour tes rapports.

Garn, paraissait essouflé, il hésita un moment avant de répondre.

Il...il...nous...l'homme que vous recherchez est arrivé, nous avons essayé de le tuez dans la clairière mais il nous a fait quelques passes d'armeset à tué tous mes hommes ainsi que mon frêre.

Agrael durant tout le récit de l'homme semblait réfléchir.

Hum...je t'avais pourtant bien dis de ne pas essayer de le tuer, c'est un guerrier aguerri une véritable machine à tuer! Seul moi, de toute manière, dois le tuer sinon je ne toucherais pas la prime qu'offre le comte pour sa capture. Tu vas te reposer dans ma chambre, je dirais au tavernier de t'apporter de la nourriture, mais ne sort pas d'ici, sous aucun prétexte. Je n'ai pas envis que tu gâche la seule raison pour laquelle je suis ici, dans ce village miteux, depuis 30 jours!

Agrael sortit de sa chambre, il descendit les marches pour se rendre dans la grande salle de la taverne, il parla avec l'aubergiste et lui donna une petite bourse, puis il se dirigea vers la sortie.

*Hum, je ne le croiserais surement pas maintenant il dois se cacher quelque part, je le retrouverais surement ce soir. Mais à propos j'aurais du demander à Garn si il était sur que ce sois notre homme, bof je le verrais bien assez tôt. Si j'allais me baigner, il ne dois y avoir personne à la rivière j'ai vu presque tout le village aller se coucher, à part la vieille bique de Menelwin. C'est étrange là où la vie n'a aucun prix la mort en à un.*

Agrael, se dirigea vers la rivière.

Nombre de messages : 344 Date d'inscription : 05/10/2006

Kara s'était allongée dans l'eau claire, et chantait...

Sa voix cristalline troublait le silence des lieux...

Elle ferma les yeux, et continua à chanter...

qu'il était agréble de se baigner dans une eau si pure.. si fraiche.. elle sentait sur son visage la chaleur du soleil...

ses longs cheveux retombaient sur ses épaules...

Oui.. elle était bien ici.... il faisait bon..

Elle sentit quelque chose au niveau de son ventre, frémit, et vit que ce n'était qu'un petit poisson.. elle avait eu peur ! Elle sourit, et se dit qu'elle devait etre là depuis bien longtemps pour que les poissons osent l'approcher d'aussi près...

Menelwin avait passé la fin d'apres midi à la taille de ses rosiers. Il commençait à se faire tard aussi , elle se calfeutra chez elle et se prépara à aller dormir.

Agrael était arrivé à la rivière quand il aperçu Karalium qui se baignait, il avait cru voir une nymphe tout droit sortit d'un comte, il resta un instant bouche bée surpris par la spendeur de la jeune femme. En effet Agrael ne connaissait pas grand chose au chose de l'amour, c'était un chasseur de prime et non un don juan.

Heu, excusez moi, c'est juste que je suppose que nous avions eu la même idée, mais comment ne pas avoir envie de se baigner par une si belle journée. je vous dérange surement je peux partir si vous le voulez?

Nombre de messages : 10 Date d'inscription : 14/11/2006

Tigrounette un montagnard, qui descendait ses bêtes, vînt assez tard à Thiercelieux en effet il avait passez toute sa journée à descendre la montagne, non loin de Thiercelieux, il les rangea dans son enclos, et retourna chez lui, fatigué par la descente, il préferait voir les nouvelles de Thiercelieux demain.

Et une journée de plus en moins, j'apprendrais les nouvelles demain, mais de toute façon il ne se passe jamais rien ici...

Végoku se réveilla et vit qu'il faisait déja nuit il décida d'aller plonger une tête dans la rivière histoire de bien se réveiller.Il commença à courrir depuis chez lui pour prendre son élan et plongea dans un bassin il commença à faire plusieurs fois le tour du bassin quand il entendit une merveilleuse voix il dit:

Je suis sûr et certain que c'est Kara!

Il se mit à descendre la rivière et vit qu'en effet c'était belle et bien Kara.Ne voulant pas la déranger il remonta et retourna nager dans son bassin...